Livre 2 - Chapitre 1 - Histoires de Sexe

Livre 2 - Chapitre 1

... essayai tout doucement de ralentir pour lui expliquer que je me vengerais une autre fois, et qu’après tout ce n’était pas bien grave.

Le souci était que Caroline n’avait pas l’air de l’entendre ainsi. J’essayai de lui expliquer que vraiment ce n’était pas grave, que cela n’avait rien à voir avec elle, et m’extirpai de madame. Je partis à la salle de bain pour jeter le préservatif et me filer un coup d’eau. Quand je revins dans la chambre, Caroline était toujours éveillée et avait toujours ce regard caractéristique qui voulait dire :« il n’est pas né celui que je ne suis pas arrivé à faire jouir ».

Je m’approchai du lit et à ce moment-là, elle se leva. Debout face à moi, elle se colla, m’embrassa et descendit peu à peu pour finir à genoux. À ce moment-là, je ne bandais plus.

— Bah alors… On rend les armes ? C’est dommage, cela faisait quelque temps que je n’en avais pas vu d’aussi jolies.

À ce moment-là, cela avait fait le 14 juillet dans ma tête(j’ai toujours adoré que les femmes parlent de leurs expériences, j’ai toujours aimé imaginer mes copines avec d’autres queues autour d’elles).

— Quelque temps ? C’est-à-dire ?
— Bah, on n’en croise pas tous les jours des comme ça !
— Ah bon ? Et tu vérifies tous les jours ?
— Dès que j’en ai l’occasion…

Au moment même où elle termina sa phrase, elle enfourna ma queue dans sa bouche en me regardant. Je ne mis que quelques instants à retrouver ma rigidité.

— Et la dernière fois, c’était quand ?
— Que j’ai ...

... vérifié ou que j’en ai eu une aussi jolie dans ma bouche ?

Elle était en train de jouer avec moi, mais je la sentais sincère.

— Les deux…
— La dernière fois que j’en ai vu une aussi jolie, j’étais à La Rochelle pour un salon.
— Et la dernière fois que tu as vérifié ?

Elle me fit un petit visage tout mignon… mi-ange, mi-démon.

— En début d’après-midi…
— Aujourd’hui ?
— Hm-hm…
— Madame a un sacré emploi du temps !
— Hm-hm…
— Toujours via le site ?
— Non, un régulier, je suis passée le voir en arrivant sur Toulouse pour le café.
— Et c’était bon ?
— Très…
— Tu as bien profité ?
— Surtout lui…
— Ah ?
— Il n’avait pas le temps de plus.
— Je comprends ton envie de ce soir.
— Hm-hm !

Ma main se rapprocha de son visage, de sa bouche. Elle me branla, me suça et en profita pour lâcher ma queue avec sa bouche et me lécher un doigt, puis deux, et me sucer tous les doigts comme si une seconde queue était là pour elle.

— Tu as de l’appétit pour deux on dirait !
— On dirait oui…
— Pour plus encore ?
— Je ne sais pas, je te dirai en fonction du rendez-vous de demain…

À ce moment, je me vis mécaniquement accélérer mes mouvements de bassin, la surprenant et la faisant gémir.

Elle connaissait mon point faible. Elle me regardait droit dans les yeux, le regard plein de désirs, à genoux sur mon parquet. Je ne pouvais tenir plus longtemps. Je la prévins, évidemment, mais elle ne se retira pas et avala sans lâcher mon regard.

Je l’aidai à se relever, elle ...