La fille spirituelle de tante Aline - Histoires de Sexe

La fille spirituelle de tante Aline

... curiosité étant la plus forte, et passe une petite tête dans le chambranle.

— Ah, c’est toi !

Elle est visiblement déçue, mais elle rougit quand même jusqu’aux oreilles. Elle s’efface pour me laisser entrer, mais semble visiblement très en colère :

— Putain, mon salaud, comment as-tu pu me faire ça ?
— …
— Tu as été piocher dans mon ordinateur ! C’est ça ? Moi qui te trouvais sympa. T’es vraiment une belle ordure !

J’acquiesce plus ou moins de la tête, mais reste tout penaud. Si ce n’est le rouge qui lui est monté aux joues, elle n’a pas l’air d’être particulièrement désarçonnée. Et dans l’histoire, je comprends vite que c’est moi qui ai le mauvais rôle. Elle en a conscience, alors c’est elle qui est aux manettes :

— Si tu veux mon avis, tu t’y prends vraiment très mal avec les femmes. Tu as tout fait foirer. Dommage pour toi, dommage pour moi.

Pourquoi me dit-elle ça, avait-elle des vues sur moi ? Comptait-elle faire quelque chose de ce dîner ? Je n’y comprends rien, je ne comprends jamais rien aux femmes.

— Tu as dû prendre un sacré petit plaisir à dévoiler comme ça tous mes secrets. Ça t’a excité de découvrir les envies perverses de l’étudiante studieuse. Tu t’es même sûrement branlé en lisant toute ma prose, j’imagine bien la scène. Avoue que ça t’excite d’avoir une voisine bien salope juste au-dessus de chez toi !
— …
— Mais tu préfères ne rien répondre, lâche, comme tous les hommes. Alors maintenant, on fait quoi ? Je te pompe ? Tu m’encules ...

... ?

Joignant le geste à la parole, elle s’approche de moi, et me met la main direct au paquet, puis défait sans sourciller ma braguette. Elle sort mon engin, mais je suis maintenant tout flasque. Je ne bande même plus, je n’assume pas… Mais Clémence, alias Clélune, ne se décourage pas. La voici bientôt à genoux devant moi qui baisse mon pantalon et qui prend ma queue en bouche, en train de la léchouiller, ses grosses lunettes juste au-dessus de ma bite. Mon sexe flasque entre ses lèvres me rend honteux. Mais elle me suce gentiment, avec patience, sans s’énerver, avec lenteur aussi. Petit à petit, son entêtement porte ses fruits, d’autant plus que cette fellation a l’air de lui plaire, je me sens à nouveau gonfler, durcir… Maintenant, elle me pompe avec tact et sans précipitation. Ma queue va et vient entre ses petites lèvres. Visiblement, elle apprécie, ses joues écarlates mettent bien en évidence sa propre envie. Elle accélère le rythme et salive le long de mon manche.

— Alors elle te plaît la chaudasse ? Elle suce bien ? Tu me croyais coincée, c’est ça ?

Elle se relève, dégrafe sa jupe, ôte sa culotte, retire son haut, puis s’exhibe entièrement nue à quatre pattes sur le sofa.

— Allez, Chenapan27, profites-en, par les trois trous tu as dit, Il y a des préservatifs dans la bonbonnière près de la télé. Viens donc la baiser, cette grosse salope de Clélune. Viens me prendre, j’en ai envie.

Curieusement, ça ne m’excite pas du tout de l’entendre parler comme ça, je la ...