Sophie (partie II)
Datte: 23/02/2025,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fsodo,
init,
québec,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :
Ma voisine et moi continuons à découvrir toutes les possibilités que nous offre notre relation clandestine. Nous cherchons les moments pour nous voir, profitant de chambres d’hôtel louées à la journée ou de coins sombres à son travail en soirée. Nous laissons notre désir nous porter là où nos corps parviennent à nous mener, toujours pour notre plus grand bonheur.
J’étais en Sophie. Nous en étions encore qu’au petit matin, il était à peine 10 heures, et, dans le grand lit blanc qui était notre terrain de jeu, je pilonnais son anus avec entrain, affection, pendant que mes doigts jouaient dans son sexe complètement inondé. Depuis une heure ou une heure trente que nous nous étions retrouvés, et nous n’avions pas passé un instant sans que l’un ne touche à l’autre, de la simple caresse par-dessus nos vêtements, les choses avaient rapidement dégénéré pour m’amener dans cette position tout-terrain où, bien campé derrière elle, je sentais son fin anneau constricteur glisser tout du long de ma queue et mes testicules tambouriner sur son périnée.
Ce matin-là, elle m’avait rejoint dans une autre de ces chambres que nous louions pour la journée, pour une journée qui n’appartenait qu’à nous. Avec le temps, nous avions visité plusieurs de ces endroits que nous nous amusions à appeler des « palais », des plus minables aux plus beaux, les images les présentant sur les sites de réservation étant parfois trompeuses. Nous n’en faisions pas de cas ; tant ...
... que nous pouvions être réunis et tranquilles, le reste importait peu. Que ce soit de l’eau chaude qui manquait ou du tapis qui s’élimait, le plaisir d’être ensemble triomphait de ces petits irritants.
Nous avions réussi, je crois, à camoufler l’étendue des sentiments qui avaient continué à grandir entre nous. Nous étions particulièrement discrets lorsque venaient des rencontres entre voisins, pendant lesquelles on aurait pu dire que nous nous ignorions presque. Nous ne discutions ensemble qu’en prenant part à une conversation déjà active, et nous nous assurions de ne jamais être vus seuls, de nous jeter des regards trop chargés du désir qui nous habitait constamment ou de converser trop en retrait de la foule. Nous n’étions pas en carence de sujets de conversation, pourtant, si j’en prenais pour preuve notre très dense correspondance. Nous échangions sur tous les sujets connexes à la sexualité ou non, nos envies, nos fantasmes, nos expériences passées, bonnes ou mauvaises, notre vie présente, notre philosophie de vie, des curiosités sportives, littéraires, musicales, etc. Parfois, des sujets légers.
— J’en ai marre de voir Sam Bennett se coller aux fesses de Peter Sagan, lui partageai-je pendant que j’écoutais l’édition 2020 du Tour de France, un peu en retard.
— Je lui collerais bien à l’arrière-train, moi, répliqua-t-elle du tac au tac.
— Peter Sagan ou Sam Bennett ?
— Hum… laisse-moi penser… les deux ? Mais Sagan si je devais choisir.
— Ah oui ? Peter Sagan est ...