1. Les histoires d’A finissent mal, en général


    Datte: 23/02/2025, Catégories: fh, douche, Masturbation Oral fdanus, rencontre, amouroman, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... sans risque, et d’autre part, mettre un glaçon dans un whisky est un manque de respect. Je vois que Madame, à défaut de respecter certains congénères, respecte au moins le travail des autres.
    
    Il venait de me scotcher sur place. Incapable de bouger, je l’ai regardé aller derrière le bar, sortir une bouteille et remplir un verre à vin presque à ras bord.
    
    — Madame désire-t-elle le déguster en salle ou en terrasse ?
    — Ici. Et accompagnez-moi, c’est moi qui rince.
    — Rincer ! Ah, ça non ! C’est moi et moi seul qui rince les verres ici. Mais j’accepte de bon cœur votre proposition.
    
    On s’est avalé les trois quarts de la bouteille, se balançant à tour de rôle pique sur pique. Tant et si bien que j’avais atteint ma limite.
    
    — Désolé, mais un verre de plus et je ne réponds plus de moi, dis-je en posant une main sur mon verre vide.
    — OK. Un café, un taxi et une bonne… Monsieur ! C’est fermé, désolé.
    — Fermé, dis-je après avoir tant bien que mal réussi à tourner la tête et voir un type ressortir !
    — Oui, comme tous les dimanches.
    — Ah ! Pourtant y’avait une table et une chaise… putain que je suis conne, dis-je après avoir réfléchi.
    — Du peu que je vous connais, je ne dirais pas conne.
    — Quoi alors ?
    — Joueuse qui a de la répartie, mauvaise perdante qui sait pourtant se retirer du jeu avant de perdre et…
    — Quoi ? C’est pour le verre que vous dites ça ? Allez, ressers-m’en un qu’on la torche cette bouteille.
    
    Deux légères doses d’alcool bues en silence à se jauger ...
    ... plus que se défier, pour lui du moins qui remplissait son verre bien plus que le mien, et j’étais plus que pompette. J’étais littéralement bourrée.
    
    — Allez, un dernier et je rentre, m’entendis-je articuler avant de m’effondrer sur le bar.
    
    ooOoo
    
    Des cuites, à ne plus savoir où l’on est ou comment on s’appelle, je n’en avais pris qu’une. Mais rien de comparable avec cette mémorable deuxième. Tout était pire, dix fois pire que la première qui m’avait fait jurer « plus jamais ». Mal de crâne énorme, bouche sèche et estomac en vrac, après avoir lutté ce qui m’a semblé des heures j’ai enfin réussi à ouvrir un œil. Le second a suivi de peu, quoique légèrement moins douloureux. Ce qui tournait déjà se transforma en tornade. Mais le pire n’était pas mon état physique, c’était d’ignorer où j’étais. Tout ce dont j’étais certaine était d’être couchée, pas dans mon lit et donc pas chez moi. Que je me sache nue me sembla être un détail sur le coup, jusqu’à ce que ma main touche un corps. Tétanisée par ce contact, j’ai refermé les yeux et tenté de me souvenir. Mais rien. Trou noir sans fond.
    
    — Bonjour, ça va mieux ? entendis-je.
    — Vous êtes qui ? Et qu’est-ce que je fous à poil dans votre lit ? Vous m’avez violée ?
    — Pas que l’envie me manquait, mais non. Je n’abuse jamais d’une femme en détresse, et encore moins quand elle dégueule ses boyaux.
    — Je… je vous ai vomis dessus ?
    — Si peu.
    — Désolée, mais je ne me rappelle de rien.
    — C’est pas plus mal. Café ?
    — Beurk !
    — Thé, ...
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