Les histoires d’A finissent mal, en général
Datte: 23/02/2025,
Catégories:
fh,
douche,
Masturbation
Oral
fdanus,
rencontre,
amouroman,
Auteur: Enzoric, Source: Revebebe
... produisait l’effet escompté : il bandait. C’était plus qu’évident, c’était flagrant.
— Ah, voilà ! 2290.
Il a entré ces quatre chiffres dans son téléphone puis m’a rejointe. Sachet déposé, regard dans mon décolleté, il m’a souri. Debout si près de moi, la vue était plus que plongeante, elle était arrogante. Sans aller jusqu’à dire que je sentais son regard me caresser, j’avais les seins brûlants et les pointes en érections. Comme lui !
— Bon appétit, Madame ! me dit-il tout en se retournant.
— Attendez !
— Non, merci Madame ! déclina-t-il le billet que je lui tendais.
— Vous ne pouvez pas accepter les pourboires ?
— Si, bien sûr que si. Mais vous m’en avez déjà donné un que je ne suis pas près d’oublier.
Il est parti, me laissant le bras tendu au milieu de ma cuisine. Le claquement de la porte me ramena sur terre.
Hamburger – pas top – et frites froides avalés, j’ai vidé dans l’évier ce qui était normalement un coca.
— Cat, t’es d’accord avec moi si je désinstalle l’appli.
— Tout à fait. La prochaine fois, on commande un chef à domicile.
— Super idée ! ai-je dit avant d’éclater de rire !
ooOoo
Habiter le centre-ville à ses avantages et ses inconvénients, mais, paradoxalement, ce qui m’avait toujours ennuyée me ravit. Voir les hommes se retourner sur moi, me détailler timidement pour certains, pour d’autres ouvertement, ne fit qu’accroître l’humidité de mon string. Après une longue balade dans le parc voisin sous le soleil rayonnant d’un début ...
... juin, une pause vrai coca zéro me fit m’asseoir en terrasse d’un café pas très reluisant d’extérieur et de toute évidence pas très fréquenté.
— Bon… jour, s’annonça le serveur.
— Bon jour oui. Le temps est splendide et je suis trempée, répondis-je en décroisant, puis recroisant les jambes. Un coca zéro bien frais s’il vous plaît, commandai-je sans même regarder le type debout à côté de moi.
Évidemment, il profita de la vue encore quelques secondes avant de se décider à bouger.
— Merci. Vous fumez ?
— Euh… non, désolé. Mais je crois qu’un tabac est ouvert à deux rues d’ici.
— Non, trop chaud. Tant pis.
— Si vous voulez, je peux aller vous chercher un paquet.
— Vous feriez ça pour moi ?
— Bien sûr. Quelle marque ?
— J’sais pas, j’ai jamais fumé de ma vie.
— Vous êtes bien sûre que ça va, Madame ? s’inquiéta-t-il.
— Oui, très bien. Je n’ai jamais été aussi moi-même, je crois. Tenez, gardez la monnaie.
Il resta quelques instants la main en l’air à tenir le billet refusé par le charmant livreur un peu plus tôt, puis il rentra. Était-il retourné derrière le comptoir, servait-il en salle ou restait-il derrière la vitrine à m’observer ? Sans m’obnubiler, cette pensée attisa ma curiosité tandis que j’avalais une grosse gorgée. À la seconde, le besoin de savoir était trop pressant, alors je me suis levée.
— Un problème, me demanda-t-il, surpris que je le découvre dans l’encadrement de la porte ?
— Il est périmé votre coca.
— Pardon ?
— Votre coca, il est ...