1. Ça ne coûte rien


    Datte: 22/02/2025, Catégories: fh, hplusag, extracon, inconnu, religion, poilu(e)s, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, photofilm, BDSM / Fétichisme caresses, Oral pénétratio, init, portrait, historique, initiatiq, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... sortir de chez elle, en hélant un fiacre.
    
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    — Mes respects, madame, se présenta l’inconnu, Edmond pour vous servir.
    — Amélie, murmura-t-elle d’une petite voix tremblante, car l’homme la dominait d’une tête, elle se sentait toute minuscule devant lui.
    
    Elle lui offrit une tasse de café que Léonelle avait préparé et installé sur la table basse.
    
    — Votre accueil égale votre beauté, dit d’une voix grave le visiteur en la prenant par la main et l’emmenant près du fauteuil, en faisant glisser la nuisette de ses épaules.
    
    Un énorme fauteuil tout de cuir et de bois, large et profond, sur lequel il la fit s’agenouiller. Accoudée sur le dossier elle faisait face au miroir, et derrière ce dernier Léonelle qui se rinçait l’œil.
    
    Dans ce même miroir, elle vit Edmond jeter sur le lit sa veste, dénouer sa cravate, ôter son pantalon et se tenir derrière elle, la virilité fièrement dressée.
    
    Il lui fit écarter les genoux encore plus, passa un doigt sur les lèvres offertes, tirant un gloussement de la belle. Il malaxa les seins opulents, pinçant les tétons, embrassa la nuque, agrippa les hanches et planta son soc au plus profond de la motte. Motte déjà bien humidifiée d’anticipation.
    
    Euphrasie poussa un gémissement de surprise tandis qu’il claquait son bas-ventre contre ses fesses. Il ressortit entièrement son dard pour le replanter derechef. Puis réitérer l’opération en variant le rythme, tantôt voluptueux, câlin, tantôt impétueux, volontaire.
    
    Elle sentait monter en ...
    ... elle une chaleur bienfaisante, de plaisantes ondes lui parcouraient le ventre, ses seins devenaient lourds et les tétons s’érigeaient de plus belle.
    
    Un étonnant étourdissement lui faisait tourner la tête et pousser des gémissements et ahanements de plus en plus bruyants.
    
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    Un carrosse s’arrêta brutalement devant l’hôtel particulier de Léonelle, Charles Magne en sortit accompagné de Germain. L’un fulminait, l’autre souriait d’un air chafouin.
    
    Maître Magne frappa violemment la porte du pommeau de sa canne, une soubrette vint ouvrir, la malheureuse se fit bousculer, le notaire se précipita dans l’escalier face à lui tandis que son majordome maîtrisait la domestique.
    
    L’altercation attira Léonelle qui intercepta le cocu et le poussa dans le cabinet decuriosité tandis que l’on entendait son épouse pousser des cris de délivrance.
    
    — Mais… mais, ne cessait de répéter Charles en regardant son épouse se faire chevaucher par un cavalier émérite.
    
    Elle secouait sa longue crinière en poussant desouiouioui et deshahaha tonitruants.
    
    — Que se passe-t-il, que lui arrive-t-il, s’étranglait le notaire en dénouant sa cravate.
    — Il lui arrive ce qui arrive à toute femme qui fait une heureuse rencontre.
    
    Ce faisant elle lui caressait l’entrejambe.
    
    — La situation ne semble pas vous laisser indifférent, alors qu’elle découvrait le volume qui habitait le pantalon. Je vais de ce pas tirer les choses au clair. Ça ne coûte rien de se renseigner.
    
    Elle lui délogea habilement ...