1. SECRETS DE FEMME


    Datte: 21/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... avait un droit divin de seigneur et maître.
    
    Bérengère l'a regardé avec ce qu’elle espérait être un air espiègle, hautaine, puis elle a mis une main entre ses cuisses, et elle a commencé à se masturber en imitant les plaintes de son assistante.
    
    « Oh, oui, un grand noir, bien baraqué, j'aimerais qu’il jouisse dans ma chatte, oh, putain, oui, comme ça ! »
    
    Penchée sur le lit, lui tournant le dos, Bérengère gémissait et haletait en mimant le coït avec un membre viril, en frottant son clitoris de plus en plus fort.
    
    Bérengère sentit soudain sa main dure claquer vigoureusement son cul, faisant tressauter ses fesses, les ondulations traversant ses chairs tendres, avant de finalement résonner dans son bas-ventre.
    
    L'impact a instantanément réduit au silence son petit acte de rébellion, et elle a avalé une boule d’angoisse et de désir qui se formait dans sa gorge.
    
    Le coup était plus sec que fort, et franchement, il l’avait calmée extérieurement, mais à l'intérieur ? À l'intérieur, elle avait envie d’être prise, dominée comme une chienne lubrique, possédée d'une manière aussi dépravée et pervertie ...
    ... que son assistante.
    
    L'empreinte de sa main sur son cul la brûlait. Son mari l'avait encore une fois enflammée d'un simple geste, prouvant à quel point elle avait besoin d’être soumise.
    
    Le souvenir de leur spectacle, cet après-midi, revenait hanter sa mémoire. Son assistante, vautrée sur son bureau, gémissante sous sa charge impitoyable, les fesses rougies, gémissante et passive.
    
    « Tu sais que je n'aime pas quand tu agis comme une gamine. Pourquoi ne peux-tu pas te contenter d’être une bonne épouse avec moi ? »
    
    « Je sais, j’ai tort, je te demande pardon. »
    
    « Tu sais que ça ne suffit pas, Bérengère. Tu as été une très mauvaise épouse, et maintenant je dois te punir. C'est pour ton bien, ma chérie ! »
    
    Bérengère tremblait en pensant à ce que cela signifiait. Ses mains rugueuses et puissantes torturant sa chatte, le miel doux et crépitant de sa bite coulissant à l'intérieur de sa vulve ardente, la martelant à un rythme impitoyable, la perte de sa dignité, suppliant des choses sales et avilissantes.
    
    « Je comprends. Fais de moi ce que tu veux. Punis-moi. J'ai été mauvaise. Dresse-moi ! » 
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