SECRETS DE FEMME
Datte: 21/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... ce moment-là, à peu près autant qu’elle l'enviait.
Parce que d'un autre côté, autant voir son mari la tromper la rendait malade, autant c'était assez troublant. La façon dont il la maltraitait un peu, lui claquant les fesses et la faisant gémir, avec ses poussées dures dans son corps abandonné.
Les voir accouplés comme ça rendait Bérengère jalouse, lui donnant envie du même traitement.
La garce était à moitié inconsciente, vautrée sur le bureau, clairement dominée dans son délire, son mascara et son rouge à lèvres barbouillés partout sur ses joues pâles. Son marmonnement avait depuis longtemps cessé d'avoir un sens. Elle était coincée à répéter sans cesse « s'il vous plaît », le regard lointain dans ses yeux vides. Il avait dû la baiser toute la journée, par intermittence, pour la mettre dans cet état.
Il avait un sacré réservoir d'endurance. Bérengère le savait, car elle le laissait l'utiliser de la même manière, la baiser jusqu'à ce que ses couilles pendent vides entre ses jambes, satisfait de l'avoir soumise à sa virilité.
Le mot clé étant « dressage ».
Bérengère est repartie, se jurant de lui faire payer cette infamie à partir de ce moment-là. Elle était furieuse, et elle n'allait pas tolérer de partager la bite de son mari.
Bérengère a passé la soirée dans un délire de rébellion et de punition, en contredisant son rôle de chef de famille, chaque fois qu’elle en avait l'occasion. Rien de ce qu'il faisait ou disait n'était juste, elle s'opposait à ...
... tous ses désirs, tout cela pour le plaisir d'être une peste contrariante.
Bérengère se complaisait en lançant des insinuations sur sa charge de travail, et sur la fatigue qui en découlait. Elle insinuait que les hommes étaient naturellement programmés pour baiser autant de femmes que possible, les inséminer en fertilisant leurs utérus, afin d’assurer leur descendance.
Jusqu’à être grossière. Exprès.
« Assez !» avait-il crié.
Elle avait capté son attention, d'accord. Il était furieux contre Bérengère, bien. Mais sa rage brûlait encore.
« C’est terminé, Bérengère. Privée de dîner. File dans ta chambre. J’en ai assez supporté ! »
Elle se leva, tordant sa bouche en un ricanement.
« Privée de dessert ? Bien, je vais prendre un amant pour me faire sauter. Un noir, avec une grosse bite délicieuse, qui va me fourrer ! » lui murmura-t-elle au passage, juste assez doucement pour que son cher époux entende, sans que les gamins les questionnent.
« Espèce de petite... » menaça-t-il, mais il ne dit rien de plus.
Il ne l'avait jamais grondée, pas devant les enfants en tout cas, qui prenaient toujours son parti lors des discussions. Si ils savaient ce qu’elle endurait quand ils étaient seuls.
Son mari l'avait suivie dans les escaliers, et jusque dans leur chambre. Il a soigneusement refermé la porte derrière lui. La dernière étape de leur petit jeu pouvait commencer.
« Es-tu devenue folle, ou cherches-tu une fessée, petite effrontée ? » Il a grondé, comme s'il ...