1. Le pacte


    Datte: 17/02/2025, Catégories: f, h, fh, extracon, voisins, campagne, cérébral, revede, Masturbation caresses, pénétratio, québec, extraconj, Auteur: Rb07, Source: Revebebe

    ... quelconque raison parentale.
    
    Dans le miroir, l’ombre noire de ma main descendit le long de mon sexe, le décalottant complètement, mouvement facilité par tout le liquide qui l’enveloppait. Elle remonta ensuite pour terminer un premier aller-retour, si bon et si prometteur. Ainsi debout, j’étais dans une position similaire à celle que j’avais lorsque Sophie avait plongé pour venir gober mon sexe, quand nous étions encore dans la rivière. J’avais encore la sensation de ses lèvres chaudes qui m’enveloppaient, ce que mes doigts ne parvenaient pas à répliquer, mais que mon cerveau se remémorait distinctement.
    
    Je m’allongeai sur le lit, les jambes étirées vers l’avant, tout en continuant de masser ma verge en la tenant pointée vers le ciel. Dans cet angle, je sentais sous ma main toute sa dureté et la texture du corps caverneux sous la peau lisse et étirée. J’imaginais les globes fessiers de Sophie qui volaient au-dessus de mon ventre, alors qu’elle s’était empalée sur moi dans une position similaire. La tête de mon pénis avait eu plus de chance à ce moment, fouillant sa caverne au rythme qu’elle avait dicté, plutôt que de se retrouver simplement à l’air libre exposé à la fraîcheur ambiante. Mais la texture veloutée de son postérieur, qui venait s’asseoir sur mes cuisses à chaque coup de bassin, était encore présente et me semblait si réelle. Ses reins arqués, sa taille si joliment concave, ses cheveux humides claquant dans son dos m’apparaissaient dès que je fermais les ...
    ... yeux. Inconsciemment, je m’astiquais au même rythme qu’elle m’avait chevauché ce soir-là, alors que les dernières lueurs du jour disparaissaient du ciel. Je variais la pression sur mon sexe comme elle l’avait fait de son vagin exquis et chaud.
    
    Mon esprit s’envola vers la matinée suivante, quand elle s’était attardée à califourchon au-dessus de moi au sortir du lit, dans une position où j’avais si souvent fait l’amour avec ma conjointe. Les seins plus menus de cette dernière se matérialisèrent par l’impression que j’avais qu’ils étaient imprimés dans la peau de mon torse. Mentalement, je sentais sa joue contre la mienne s’y frottant dans le tempo de notre ébat. Je me représentais enveloppé de ses cheveux bouclés qui m’envahissaient le visage alors qu’elle me mordillait l’oreille. J’avais envie d’elle, tout comme j’avais envie de Sophie. Pas tout comme, en fait. Différemment. La différence que peuvent amener 20 ans de vie commune sur le désir. Un désir moins brûlant, mais un désir toutefois profond. Le désir de ce corps que je croyais connaître par cœur, dont les proportions étaient si bien ancrées en moi que je pouvais sans même y penser retrouver tous mes repères en pleine noirceur. Cette apparition dans mon imaginaire vint propulser mon niveau d’excitation tout près du stade de non-retour. Mais c’était trop rapide ! J’avais encore envie de profiter du moment, je tenais à être accompagné de l’orgasme de Sophie pour laisser le mien se déchaîner.
    
    J’arrêtai de bouger, laissant ...