1. « Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6


    Datte: 15/02/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... pendant que je grimpais sur celle de Patrice qui avait abandonné Nicolle, sa future femme pour l’après-midi. Dans une minuscule clairière à l’abri des regards indiscrets, nous nous étions retrouvés tous les quatre nus comme un ver. Ce jour-là, nous avions tout partagé, les queues des fils du boucher, passèrent d’une bouche à l’autre et de la chatte charnue de Gislaine à la mienne pour notre plus grand plaisir. Le soir même, elle était retournée dans la cabane en bois rejoindre Simon et depuis ils ne se quittait plus.
    
    Le soir après le diner, ma mère était une nouvelle fois de sortie, le docteur se retrouvant seul, ils s’étaient encore fâchés tous les deux : « Je ne suis pas ta propriété. » Lui avait-elle crié avant de quitter la demeure en colère. Il faut dire que maman n’avait que 37 ans à l’époque et qu’elle était toujours aussi désirable. Je savais aussi que son aventure avec Jean-Charles le fils du docteur, se poursuivait au nez et à la barbe de son père et de son épouse. Colette allait retrouver son amant et ne rentrerait que tard dans la nuit après avoir pris son pied avec le jeune médecin.
    
    J’étais si fatiguée, que je n’avais pas attendu pour monter dans ma chambre. Je m’étais endormie rapidement en pensant toujours à Marius qui allait me manquer. Vers minuit, je sentis soudain une main qui se plaqua contre sa bouche et une main puissance me relevant ma nuisette jusqu’au menton. Surprise et prise de panique, j’essayai d’hurler, mais mes cris furent étouffés par ...
    ... la poigne du docteur qui maintenait ma bouche fermée.
    
    André qui s’était abstenu pendant tous ses congés, était en grand manque sexuellement parlant, ma mère ne lui ayant pas donné satisfaction, il voulait me baiser, sa queue longue et épaisse, sortie de son pantalon de pyjama, était en pleine érection. Très vite la stupeur laissa la place au désir, pourtant j’avais baisé toute l’après-midi, malgré cela mon désir de me faire prendre de force par celui qui m’avait dépucelée, m’excita fortement. André s’en aperçut immédiatement en enfilant un de ses doigts dans ma fente, ma chatte était déjà bien mouillée.
    
    Seulement, je n’avais plus l’intention de m’offrir à lui, il m’irritait et me faisait la tête depuis deux mois. Sa main libre allait et venait entre mes cuisses, j’essayais sans grande conviction de me dégager, mais il insistait, il se doutait bien que je céderais à ses avances comme j’avais pu le faire par le passé. Ces doigts me fouillaient et cela m’excitait, je mouillais encore : « Ta petite chatte est trempée petite salope, je vais t’enculer. Je suis sûr qu’il t’a baisée comme il a baisé ta mère le Marius. » J’étais horrifiée d’entendre ce genre de phrase sortant de la bouche d’un médecin aussi respectable.
    
    Je me disais dans ma tête : « Ce n’est pas possible, ce n’est pas l’homme que j’ai connu. ». J’essayai de repousser son bras mais il me prit la main pour la poser sur son sexe. Lorsqu’il s’aperçut que j’opposais moins de résistance, et que je lui caressais son ...
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