« Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6
Datte: 15/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... procurer un plaisir immense. J’étais incapable de bouger ou de me relever. J’étais restée un long moment, effondrée sur le canapé, reprenant mes esprits, pendant qu’il se resservit une flute de pétillant.
Je sentais son sperme s’échapper de mes grandes lèvres et couler jusqu’à mon anus mouillant ainsi la couverture recouvrant son canapé. Après avoir siroté son verre, assis à mes côtés me tenant dans ses bras, il m’embrassa tendrement. J’étais bien, en sécurité, blottie ainsi contre lui, mais quelques minutes plus tard, le désir refaisait surface, je me glissai à genoux entre ses jambes, sa belle bite n’était pas encore ramollie. Je l’avais pris à pleine bouche afin de lui redonner des forces et de la vigueur :— Tu dois rentrer chez toi Josy. Laisse-moi un peu de jus pour Christiane, elle mérite que je la contente.
Il se faisait tard, il devait faire la fermeture avant de se coucher car il partait de bonheur le lendemain pour deux semaines de congé bien mérité et ne revenir que pour la fête du village. Ce soir-là, si j’étais très heureuse pour mon salaire, j’étais doublement déçue. Je dus rentrer chez-moi, sans avoir pu reprendre du plaisir avec mon colosse, et en plus je n’allais pas le revoir pendant quinze jours. Je me demandais bien comment j’allais le supporter.
Le lendemain matin, sachant que j’étais très fatiguée par mon travail, ma mère m’avait gentiment laissé la permission de faire la grâce matinée. À mon réveil, j’étais revenue à la triste réalité de ma ...
... vie. André était rentré de chez sa sœur et me faisait déjà des remarques désobligeantes, pendant que je prenais le café à la cuisine. Ma mère qui avait récupéré le chèque de mon salaire et 50 francs que j’avais laissé dans l’enveloppe, était revenue ce samedi midi avec le Solex S3800 luxe qu’elle m’avait offert afin que je puisse dès le lundi partir au boulot à la confiturerie.
Après le déjeuner, l’ambiance étant encore très tendue entre ma mère et le docteur, j’étais allée en ville avec mon nouveau vélomoteur faire les boutiques avec une partie de l’argent que j’avais discrètement dissimulé. Je m’étais acheté de nouvelles tenues bien plus sexy que celles que je portais habituellement. Puis j’étais allée rejoindre mon amie Gislaine. Elle aussi était triste, son dernier copain était rentré à Paris, nous nous retrouvions donc sans nos amants et le camping avait fermé ses portes.
Sur la plage où nous étions allées nous balader, aucun jeune du village ne nous intéressait, soit ils étaient avec leur copines, soit ils étaient trop jeunes. Soudain, les deux fils du boucher s’approchèrent de nous et nous proposèrent de faire un tour dans les bois de l’étoile. Gislaine n’était pas chaude pour venir avec nous, cependant ne lui cachant rien, je lui avais dit deux mois plus tôt que Simon était très bien monté et que même si ce n’était pas un expert en la matière, je m’étais bien amusée avec son engin entre les jambes.
Elle accepta donc de venir avec nous et monta sur sa moto, ...