« Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6
Datte: 15/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Lorsque j’étais rentrée avec mon premier salaire, déjà très déçue par le comportement de Marius qui me délaissa comme une vieille chaussette après m’avoir baisée, je fus dépitée d’entendre ma mère me dire que mon chèque et le billet de 50 francs seraient mis sur son compte bancaire. Elle me laissa toutefois 20 francs en guise d’argent de poche. Heureusement que je lui avais caché mes pourboires, sinon, je n’en voyais pas la couleur. Pour le mois prochain, j’avais bien l’intention de ne pas lui donner la prime que me donnerait probablement mon patron.
Je n’avais pas le cœur à sortir cet après-midi-là, mais Gislaine avait su me motiver en me disant qu’elle avait rencontré le matin même un nouveau type et que son copain était beau comme un dieu. Ces deux bretons d’une bonne vingtaine d’années venaient d’arriver au camping avec un groupe d’une quinzaine de jeunes, filles et garçons. Nous leur avions fait découvrir notre village. Après avoir sympathisé avec le groupe, j’étais parvenue à emmener toute la bande avec moi au bistrot de la place. Lorsque nous étions au bar, j’eus droit à un grand sourire de la part de Marius qui venait de finir sa sieste.
N’ayant plus suffisamment de place, je lui avais demandé si nous pouvions utiliser la salle du PMU qui était libre. Ces jeunes semblaient ne pas manquer d’argent, ils avaient bu toute l’après-midi et prirent même l’apéritif. Mon patron heureux de sa recette me félicita et me demanda, avant de repartir chez-moi : « Ça serait ...
... bien si tu pouvais les faire revenir. » La première quinzaine d’août fit une réelle réussite, non seulement cette petite bande venait tous les jours mais j’avais également sympathisé avec d’autres campeurs du village voisin qui passaient leur matinée au bar.
Au niveau du travail tout était parfait, j’aimais vraiment ce métier. Néanmoins, Marius ne s’occupait plus de moi, il ne me parlait que pour le travail, j’avais mal de le voir me fuir. Heureusement, j’avais trouvé Alain, un type d’une trentaine d’année, le problème c’était qu’il était marié. Son épouse venant d’accoucher, il était très content de m’avoir trouvé pour profiter de ma bouche ou de ma petite chatte. L’inconvénient était que nous baisions vite fait qu’après mon service, dans les toilettes du camping avant qu’il retourne voir sa femme à la plage.
Je ne pouvais pas oublier le moment magique passé dans le bureau de Marius. Impossible de m’enlever son image de ma tête, ses baisers, ses caresses, le plaisir que j’avais ressenti lorsqu’il m’avait pénétré et les deux orgasmes successifs qu’il m’avait procurés avec sa bouche, ses doigts, sa queue. Ce colosse ne m’avait pas que possédée avec son sexe, il hantait mes pensées toute la journée et une bonne partie de la nuit. Ce n’était pas les petites baises à la va vite avec cet homme marié qui me le faisaient oublier.
Tous les jours, je n’avais qu’une seule envie, être avec Marius, de le toucher, de le sentir et de profiter de ses caresses. Alain n’avait pas le ...