« Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6
Datte: 15/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... temps de m’exciter, il était toujours impatient de me baiser inconfortablement dans une cabine des sanitaires. Alors, je fermais les yeux et je m’imaginais d’être avec Marius. Même si je parvenais à jouir, mon orgasme n’était pas à la hauteur de mes attentes. Alain me labourait quelques minutes avant de se vider et une fois terminé il filait tranquillement et discrètement voir sa femme, me laissant là frustrée et déçue.
L’idée de la petite salle servant au turfistes les dimanches-matin me tournait dans la tête depuis un moment. Pour la soirée du quinze août, je dis à Marius : « Et si nous faisions une petite soirée dansante ce soir-là, j’amène les jeunes et nous faisons la fête avec le jukebox. » En effet, à cette époque, le camping n’organisait jamais ce genre de fête. Marius était un peu réticent, il n’y croyait pas. Cependant pour essayer, il me donna son accord. Avec Gislaine, nous avions fait la promo de cette soirée et le soir venu, j’avais demandé à mon patron de travailler.
Ce fut une vraie réussite, nous n’avions pas suffisamment de places pour accueillir tous les jeunes venus faire la fête. Le tiroir-caisse était rempli et mon bas de laine également avec tous les pourboires que j’avais récolté. Néanmoins, certains villageois s’étant pleins du bruit aux gendarmes, ceux-ci étaient venus le lendemain pour annoncer au patron qu’il n’était pas dans ses droits. Il devait comme pour les bals populaires, faire une demande spéciale à la préfecture.
Ce qui n’avait ...
... pas empêché les jeunes de revenir au bistrot tous les soirs. Même les garçons des villages voisins y venaient draguer les filles du camping. Les serveuses étant débordées, Marius m’avait proposée de revenir travailler tous les soirs. À la fin de l’été, le patron avait fait une super recette. C’était mon dernier jour de travail, lorsqu’il me donna mon enveloppe, j’avais mon chèque de 420 francs et 500 francs en espèce. Ayant déjà 120 francs de pourboire, je n’en revenais pas, j’étais aux anges.
Il me prit dans ses bras en disant : « Tu reviens quand tu veux ma puce, t’as été géniale. » Je ne savais toujours pas s’il me désirait encore mais après lui avoir sauté pour l’embrasser, il n’avait pas refusé : « Ton vieux est rentré ? » Me demanda-t-il. Lui ayant répondu qu’il rentrait dans la soirée, il me prit la main et me dit de le suivre. Nous étions montés à l’étage et il m’emmena directement dans son appartement.
Une fois chez lui, il m’invita à m’assoir dans son canapé avant d’aller à la cuisine déboucher une bouteille de champagne. Il revint, déposa un plateau sur la table basse, mit de la musique en sourdine et s’installa à côté de moi. Il passa délicatement son bras derrière ma tête et m’embrassa chaleureusement. Nous n’avions que très peu parlé, j’avais attendu ce moment pendant près d’un mois, j’étais heureuse. Son autre main parcourut ma cuisse, releva légèrement ma petite robe et continua son chemin jusqu’à ma poitrine où mon cœur battait la chamade.
Il prit ...