1. Le premier mai, je fais ce qu'il me plaît.


    Datte: 07/02/2025, Catégories: fh, inconnu, fépilée, danser, BDSM / Fétichisme Oral fgode, pénétratio, jouet, délire, Humour Auteur: radagast, Source: Revebebe

    ... choisissant avec soin ma tenue de chasseresse : minijupe au ras de ma raison de vivre, chemisier qui laisse mon nombril à l’air et deviner que je ne porte pas de soutien-gorge et, enfin, un micro string, juste pour éviter l’accusation d’attentat à la pudeur.
    
    Je commande un UBER et rejoins mes deux copines pour une soirée de folie. Après des embrassades et des gloussements de vierges effarouchées, nous rejoignons la boite.
    
    Ambiance rétro, classiques de jazz et des seventies en fond sonore, décor rouge et noir, fauteuils profonds et lumière tamisée. Ça se trémousse sur une piste de danse et ça jacasse comme dans un poulailler, à tel point que nous sommes obligées de passer notre commande en langage des signes.
    
    — Trois CRS, pour commencer.
    
    Le CRS, comme chacun sait, est un cocktail à base de Citron vert, Rhum et Sucre de canne. Comme son confrère de la police, il peut matraquer l’occiput si on en abuse.
    
    Installées sur une banquette, nous sirotons nos boissons, Suzy scanne les environs de son regard laser, à la recherche de mâles potentiels. Or ce sont trois beaux spécimens qui nous abordent, nous offrant une autre tournée de nos cocktails préférés. Nous nous pensions lionnes alors qu’ils nous voyaient gazelles.
    
    L’un des Nemrod est blond, genre guerrier viking et s’intéresse de près à Suzy. Le second, barbu frisé, me fait penser à un caniche qui frétille devant Manon. Le troisième semble avoir jeté son dévolu sur moi.
    
    Pas mal dans le genre latin lover. Beau ...
    ... brun ténébreux aux joues légèrement ombrées prénommé Marcello. Ils nous offrent plusieurs tournées, nous abreuvent de compliments et nous invitent à danser. Ou plutôt faire une séance de frotti-frotta. Il s’y entend, le Marcello, pour me faire sentir la taille de son émoi en se plaquant contre mes fesses. Faut dire que je me trémousse comme une diablesse.
    
    Puis le ténébreux Marcello m’entraîne dans une pièce à l’arrière du bâtiment. Il semble bien connaître les lieux. Il me mordille l’oreille, passe sa main entre mes cuisses, juste là où l’hygrométrie dépasse les cent pour cent – si, ça existe – et me murmure des choses en italien.
    
    Je n’en ai rien à cirer, ça pourrait être du Dzongkha que je m’en foutrais aussi, car, à cet instant, je suis en train de lui déballer le boute-joie, un brin de muguet de belle taille muni de ses deux belles clochettes et tandis que je m’apprête à le revêtir d’un habit de lumière, ce con me balance la purée dans les mains. Quatre ou cinq giclées, comme quand tu appuies trop fort sur la bouteille de liquide vaisselle dans l’évier. Zouïp, zouïp, zouip. Une sur mon ventre, une autre sur le mur derrière moi, le reste dans les mains.
    
    — Mais… Mais… Quel con !
    — Scouzi, scouzi…
    — Scouzi mon cul, oui, dis-je en m’épongeant avec un mouchoir, quel con, il m’a tout empégué !
    
    Je retourne à notre table et annonce à mes amies que je me casse, que si elles veulent s’envoyer en l’air avec des éjaculateurs précoces, c’est leur droit, mais que là, moi ...
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