1. Equinoxe sextraordinaire


    Datte: 07/02/2025, Catégories: f, fh, fhh, jeunes, extracon, inconnu, bain, forêt, froid, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aventure, fantastiqu, Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe

    ... que l’homme qui partagea avec elle les oniriques étreintes animant encore son corps de désir. Déboutonnant largement son pantalon, elle s’agenouille à ses pieds de manière à pouvoir le prendre en bouche. C’est doux et chaud comme un gros bonbon, elle l’avale et le fait circuler contre sa langue et son palais, le pompe et l’aspire. Sous l’effet des bouffées d’ocytocine qui en elle montent, elle fait montre d’un zèle qui ne laisse pas de marbre, mais uniquement en ce qui concerne la température, l’objet de ses soins.
    
    Sentant qu’il ne pourra pas résister plus longtemps à tant d’attentions prodiguées, il la couche dans l’herbe avec plus de douceur que ne l’aurait fait un jeune marié le soir de ses noces. Lui relevant les jambes, ses mains glissent à l’intérieur de ses cuisses soyeuses afin d’ouvrir l’accès à ses replis incarnats. Elle sent le velouté d’une langue chaude se poser sur ses chairs intimes et fouiller exactement là où il faut pour la faire chavirer. Des doigts la pénètrent ; elle n’attendait plus que cela pour se sentir monter en jouissance. Les spasmes sont si intenses qu’elle ne peut plus en contenir les accès et retenir les éclats féminins de sa voix résonnants parmi les parois du large détroit de pierre calcaire.
    
    Son amant vient tendrement sur elle, prévenant de douceur, il lui embrasse le ventre, lui ...
    ... effleure les tétons, enveloppe ses seins de ses baisers. Savourant le plaisir bucolique d’être chatouillée par des brins de verdure pendant que les centimètres de son gros membre durci la remplirent, elle se dit que la biche, en rencontrant le cerf, a comme elle bien de la chance. Elle sent qu’elle va venir une deuxième fois. Alors, s’appliquant à gémir à chacune des poussées qu’elle reçoit, l’embrassant de baisers brûlants, elle se contracte du mieux qu’elle peut pour accompagner sa jouissance. Une main sur son dos, une autre sur ses fesses, voulant être le réceptacle de son plaisir, elle l’empêche de se retirer au moment où il explose. De sa voix rauque et virile, il sonne de lui-même son propre hallali, expirant d’amour et de désir.
    
    Le silence s’installe. L’un contre l’autre, chacun observe un moment de calme et prend conscience du mouvement de la rivière et du pépiement des oiseaux dans les arbres. Elle profite de la douce sensation de sentir encore l’intérieur de son ventre papillonner comme s’il était encore en elle. Regardant le ciel, tellement bleu qu’il pourrait sembler noir s’il n’était parsemé de quelques petits cumulus gonflés comme des œufs en neige, elle finit par lui dire, rêveuse :
    
    — Monsieur, j’ai tellement l’impression de vous connaître…
    — Cela faisait 45 000 ans que je vous attendais mademoiselle. 
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