J'ai deux amours...
Datte: 03/02/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
masturbation
regrets,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... troublent… Je te raconterai, Bertrand. J’attends de tes nouvelles.
Coquette, ou allumeuse sans cervelle ? Comment avais-je pu mettre en valeur mon cul et mes gros nichons sans penser que chez certains cela déclenchait des pulsions autres que liées à la coquetterie ? Devais-je désormais me vêtir de manière plus discrète, neutre et asexuée pour ne pas faire se dresser les virilités ? Je me sentais encore humiliée que Roland m’ait trompée, mais, surtout, qu’il m’ait préféré une conne « sexuellement délurée » selon ses propres mots. Aurais-je dû me transformer en salope sitôt passée la porte de notre chambre à coucher ? C’était donc ça, l’amour, le secret de la longévité des couples ? Baiser, baiser et encore baiser ?
L’atterrissage à Catane après le survol de l’Etna a été un moment fort, Bertrand me tenant la main, car je n’aime guère l’avion. Voiture de location, soleil radieux et températures encore estivales, nous avions quatre jours devant nous pour parcourir le sud de la Sicile.
Bertrand s’est montré comme à son habitude prévenant et respectueux, puisque lors de notre première nuit à Syracuse nous n’avons pas fait l’amour, je n’en avais pas envie, encore en proie à des doutes insolubles.
Le lendemain, nous nous sommes baignés, près d’Agrigente, après avoir contemplé le temple de la Concorde sur sa colline. Étendue sur mon drap de bain, à demi endormie, je me laissais caresser par les rayons du soleil. J’ai tendu le bras, Bertrand lui aussi somnolait, j’ai ...
... parcouru du bout de mes doigts son torse musclé, son ventre plat, puis j’ai posé ma tête sur sa poitrine. Mon index s’est fait provocateur, traçant de sa pointe sur l’abdomen de mon amant une ligne droite, ralentissant son allure pour suivre la protubérance qui gonflait le maillot de bain. La sentant s’éveiller, j’ai poursuivi par une leçon d’anatomie.
— Oh, je sens que ta tige se gorge de désir, je la vois palpiter comme un cœur qui s’emballe, c’est beau… Tu sens mon ongle qui agace ton gland ? Mon doigt qui le caresse, là, juste sous la couronne… ? J’adore quand tu frémis sous mes doigts… Oh, mon chéri, il vient de surgir, on dirait qu’il veut s’évader de sa prison de tissu… Oh, comme il est gros, et il se gonfle encore, le pauvre, ce doit être douloureux ? Attends, je vais le masser de mon pouce et de mon index pour l’apaiser… Mmmm… elle est douce, ta peau, à cet endroit, on dirait du satin, de la soie, tu permets que je le masse entièrement ?
— Oh, Christiane, tu es le diable en personne, je ne peux pas te résister…
— Ah voilà, j’ai descendu un peu ton maillot pour mieux contempler ton bel organe, tu sens comme ma main l’enveloppe bien ? Il est chaud mon amour, il est à la fois doux et dur, j’adore le regarder vibrer, attends, je vais lui faire un anneau de mon pouce et de mon index et les faire coulisser, comme si je te suçais. Tu aimes ?
Sans attendre de réponse, j’ai donné à Bertrand mon pouce et mon index à sucer pour qu’il les enduise de salive, avant d’en entourer ...