La rencontre
Datte: 01/02/2025,
Catégories:
ffh,
hplusag,
hagé,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rencontre,
Auteur: Rincop, Source: Revebebe
... naturellement. Nous attendons 18 h, lorsque la chaleur commence à retomber un peu, pour entamer le chemin du retour qui nous demande presque trois heures ! La petite équipe commence à être bien fatiguée. En plus, j’ai prévu un barbecue pour le soir, ce qui nous retarde encore. Nous allons nous coucher à plus de minuit après avoir décidé à l’unanimité que demain ce serait sans vélo !
*****
Le lendemain est beaucoup moins matinal. Sur ma proposition, nous partons(en voiture) pour Chenonceau et Amboise. Finalement, après la visite du château de Chenonceau, nous décidons de rentrer, nous sommes vraiment bien fatigués ! Après la traditionnelle douche, nous nous retrouvons au salon.
Ophélie me dit avec un air de tristesse dans la voix :
— Nous allons devoir partir demain, sinon, nous n’arriverons jamais à Nantes et nous avons déjà nos billets de train pour le retour.
Elle met alors ses bras autour de mon cou et me fait deux grosses bises, une sur chaque joue. Je sens son buste se serrer contre le mien.
— Je ne sais comment te… pardon, vous remercier pour cette très agréable semaine.
— Tu sais, tout le plaisir a été pour moi, mais il y a peut-être une autre solution.
Sidonie ne me laisse pas finir, à son tour elle s’agrippe à mon cou et ses bises sont bien proches de mes lèvres.
— Nous n’oublierons pas ton accueil, encore merci !
Je sens bien contre mon torse, ses deux généreux seins. Je réponds :
— Euh, on dirait que l’on se tutoie maintenant, ce ...
... n’est pas plus mal comme cela.
Ophélie rebondit :
— Tu as dit qu’il y avait peut-être une autre solution ?
— Euh, oui, tu avais parlé de St-Brévin ou Pornic…
Elle m’interrompt :
— Ce n’est même plus la peine d’en parler, trop loin. Surtout que la canicule va se poursuivre.
— Peut-être pas, j’ai un ami, Paul, qui possède une maison secondaire pas loin de Pornic et me la prête régulièrement. Je pourrais voir si elle est libre.
Elle me regarde avec des yeux incrédules.
— Eh bé, avec toi il n’y a pas de problème, il n’y a que des solutions.
— Attendez, je n’ai rien promis, il faut que je l’appelle.
Je vois deux grands sourires sur les visages de celles que j’ai appelé mes amies. Elles se précipitent à mon cou et me font à nouveau la bise, chacune sur une joue.
— Comment te remercier ? Pour tout t’avouer, nous ne nous sentions pas du tout la force d’aller jusqu’à Nantes et encore moins à Pornic.
— Le problème semble résolu, les conditions c’est 250 € par semaine, on fait moitié-moitié ?
— Ah non, nous voulons tout payer.
— En ce cas, je vais dire à Paul que j’ai changé d’avis. Moi aussi je suis bien content d’aller à la mer.
— Grrr, tu ne cèdes pas beaucoup, me dit Sidonie qui accompagne sa réponse d’un grand sourire. Mais pour ce soir, tu t’assieds dans ton canapé. Nous nous occupons de tout et t’apporterons le repas à la salle à manger. Tu as l’air vraiment fatigué et tu n’as plus trente ans !
— À vos ordres, ma princesse.
Trois quarts d’heure ...