La rencontre - Histoires de Sexe

La rencontre

... si j’ose dire, compte tenu des circonstances du décès de mon épouse, et que je vois rarement car ils travaillent à l’étranger. Par négligence et aussi par paresse, je suis resté pour l’instant dans la maison que nous avions ensemble.

Revenons-en au fil de notre histoire, la blonde me répond :

— C’est gentil, mais nous ne voudrions pas vous déranger.
— Si je vous le propose, c’est que cela ne me dérange pas.

Elle regarde à nouveau la brune et finit par me dire :

— OK, mais à condition de vous indemniser.
— Demi-tour et direction mon chez moi, il est déjà 18 h 15…

En cours de route, je me rends compte que je n’ai pas de quoi nourrir trois personnes…

— Vous aimez le bœuf ?
— Oui, pourquoi ?
— Je n’ai pas de quoi vous nourrir pour ce soir, nous allons nous arrêter chez le boucher en passant.

À 19 h 15, nous y arrivons enfin… Chance, il est encore ouvert ! Elles n’avancent vraiment pas, mais c’est vrai qu’elles sont chargées.

Dix minutes après nous voilà enfin à la maison. Je leur fais le tour du propriétaire et leur montre les trois chambres qu’elles peuvent occuper ainsi que la salle de bain que j’ai décidé de leur attribuer.

— Quelles chambres voulez-vous ?
— Oh, comme vous voulez !
— Alors prenez ces deux-là(les plus proches de la salle de bain) !
— Une seule va nous suffire… Sous la tente, nous serions encore plus à l’étroit et nous ne voulons pas vous salir deux paires de draps, me répond la blonde.

Je leur donne l’ex-chambre de ma ...

... femme, moi, depuis longtemps, j’en occupe une autre au deuxième étage.

— Je vais prendre une douche, vous pouvez en prendre une aussi bien entendu, nous nous retrouverons ensuite à la cuisine.

Elles vont chercher leurs bagages(nous avons rangé les vélos dans le garage). Alors que je suis sous la douche, je les entends entrer toutes les deux en même temps dans l’autre salle de bain…

Moins de dix minutes après nous voilà tous dans la cuisine, au moins pour la douche, elles sont rapides.

— Je ne me suis même pas présenté, je m’appelle Yves.
— Sidonie ! me répond la blonde.
— Et moi, Ophélie ! ajoute la brune.

Après la douche, elles se sont bien entendu changées et ont remplacé leurs tenues de cycliste par un short minimaliste et un top à fines bretelles sous lesquels elles ne semblent pas avoir de soutien-gorge.

L’air de rien, je les détaille un peu tout en leur demandant de l’aide pour cuisiner.

— Je vais vous faire un émincé de bœuf, est-ce que vous pourriez éplucher des pommes de terre pour faire des frites et me préparer des échalotes et de l’ail bien émincés ? Je me charge de la viande et des épices.

Assise à la table, Sidonie s’occupe des condiments et Ophélie s’attaque aux pommes de terre, debout, devant l’évier.

La première, aux cheveux assez courts, est perchée sur de longues jambes musclées et doit bien faire du C ou du D, ce que je peux évaluer lorsqu’elle se penche en avant. Quant à la deuxième, cheveux mi-longs, de fines jambes aux cuisses ...