Joli Papa
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
grossexe,
campagne,
amour,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... couche sur lui pour reprendre souffle. Oh, comme je suis bien là, vautrée sur son poitrail et empalée sur sa queue ! Mais il en veut plus, me fourre un doigt dans le cul pour me faire réagir à nouveau. Et après c’est devant, derrière, sur le côté, les pattes en l’air, debout devant la fenêtre, je sais plus, je suis morte, j’en peux plus… Je tombe sur le lit, KO. Mais lui, non, il n’a pas encore pris son pied sur ce round-là. Alors il me manipule à sa guise et me bourre et me laboure jusqu’à ce que son geyser m’inonde à nouveau. Dans mon brouillard, je prends malgré tout une nouvelle décharge. Pitié, que ce soit la dernière… pour aujourd’hui !
Il est quatorze heures quand je traverse la cour en chemise de nuit, les jambes en flanelle, la vulve tellement dilatée qu’elle me fait mal à chaque pas. Je l’ai voulu, je l’ai eu. Sous la douche, je reviens peu à peu à la vie, à la réalité. Je suis moulue, passée sous une charge de bisons. C’est tout juste si le jet de la douche ne me donne pas un nouvel orgasme tellement ma minouchette est gonflée et sensible. Et mes yeux ? Est-ce qu’ils vont redevenir blancs ? Je vais me coucher et je m’endors…
Des coups sourds me réveillent, il est presque dix-huit heures. Il est en train de creuser deux trous entre la maison et la grange, pour la véranda, je pense. Mes yeux sont redevenus normaux, ouf. Je prépare un bon dîner, copieux, parce qu’on n’a pas déjeuné, lui et moi. Arthur arrive, se met les pieds sous la table, le nez sur son ...
... portable, comme d’hab. Dîner silencieux, dîner télé. Je n’ose même pas croiser le regard de Jean, de peur de me trahir, de ne pas pouvoir contenir l’envie de lui sauter dessus et de l’embrasser à pleine bouche, pour le remercier de m’avoir transformée en quelques heures. J’ai toujours cette impression bizarre d’être autre, d’être ex-corporée et de me regarder agir tout en étant ailleurs, sur mon nuage, dans les bras de Jean. Je ressens encore la présence de son sexe dans mon ventre et dès que j’y repense, je mouille. J’ai une partie de la nuit pour y repenser, le temps de trouver le sommeil. Je n’aurais pas dû dormir l’après-midi. Le départ d’Arthur me réveille. Je reprends une douche et je file chez Jean, comme une épingle attirée par un aimant. Il ne me repousse pas. On baise jusqu’à dix heures puis on va travailler.
La dalle de la véranda est coulée, avec deux gros plots à l’endroit des futurs poteaux. Elle est rigoureusement à la hauteur des sols de la maison et de la grange, je comprends enfin pourquoi il m’avait fait prendre ce niveau pour faire son sol. Il avait déjà l’idée de la véranda. Un camion livre de nouveau des poutres, des chevrons et des gros emballages de matériaux marqués « Fragile ». De temps en temps, je l’aide, sinon je m’occupe du potager, biner, sarcler, arracher les mauvaises herbes. Ça pousse, très bien même, et ça me rend très heureuse. C’est peut-être idiot, mais il y a vraiment beaucoup de plaisir à voir pousser ses propres légumes.
Jean travaille ...