« Josy » La reine de la nuit. Épisode 1 : la naissance d’une petite salope.
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... devant mon visage. J’avais enfin à quelques centimètres de mes yeux, une queue bandante à ma disposition, j’en avait tellement rêvé que j’étais très excitée. Cependant j’appréhendais, je ne savais pas par où commencer. J’admirais ce beau phallus décalotté, je le touchais du bout des doigts car j’avais peur de lui faire mal. Enfin, je le pris délicatement à pleine main puis je déposai un baiser sur le gland.
Le petit gémissement qu’André poussa m’indiqua que j’étais sur la bonne voie, je déposai mes lèvres sur le bout de sa queue et je passai ma langue tout autour avant d’enfoncé ce gland dans ma bouche en le suçant. Le docteur semblant très apprécier, je ressortais son engin et recommençais. Pendant plus de cinq minutes, je m’activais de la même manière, je léchais, embrassais et suçais le bout de sa queue. Si je prenais gout à le faire, André était au bord de l’extase, sa respiration s’accélérait, ses gémissements étaient rapides et puissants.
J’avais déjà vu ma mère, je savais que bientôt, le docteur allait m’envoyer le fruit de son excitation. Je déposai mes lèvres sur le gland dans un baiser plein de tendresse, léchai pendant quelques secondes le bout du gland puis l’avalai en glissant mes lèvres avant de les faire coulisser, pendant que ma main montait et descendait le long de sa hampe dure et veinée. Il posa ses mains sur mon crâne, il ne râlait plus mais rugissait.
Ce fut à cet instant que je ressentis une douce chaleur envahir ma bouche, son sperme ...
... m’arrosait le palais. Ayant déjà vu ma mère le faire, je ne m’en inquiétais pas, cela n’était pas du poison. Si la première giclée expédiée par surprise s’échappa de mes lèvres, je fermai ma bouche pour conserver le reste de son éjaculation. Quelle drôle de substance, je trouvais cela poisseux, collant dans mes dents et sur mon palais. Ne désirant pas tout recracher, je me forçai à avaler. En fin de compte, quoique légèrement salé, j’avais apprécié son gout, ce n’était pas aussi désagréable que voulait bien le dire mes copines de lycée.
André me fit me relever, me remercia pour ce délicieux instant, me fit une bise sur mes lèvres et m’invita à prendre le déjeuner à la cuisine :— Je dois reprendre des forces si tu veux que l’on poursuive ton éducation sexuelle, après manger.
J’avais gagné la partie, le docteur voulait que je devienne sa maitresse, j’étais aux anges et je comptais bien ne pas le décevoir. Une salope était née, je n’avais reculé devant rien, je venais de forcer le médecin à céder à mes caprices. Mais comment aurait-il pu me refuser ça, aucun homme normalement constitué aurait refusé une telle fellation, avec à l’appui une éjaculation buccale.
Après le déjeuner, André comme tous les dimanches, fit la sieste sur son fauteuil. Après la vaisselle, je m’étais assise à ses pieds, placée entre ses jambes. J’attendais qu’une chose, qu’il se réveille, j’étais impatiente de connaitre la suite, en espérant qu’il ne se fourvoie pas. Ce ne fut pas le cas, après avoir bu son ...