1. « Josy » La reine de la nuit. Épisode 1 : la naissance d’une petite salope.


    Datte: 28/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... remarié ?
    
    Une de ses mains me caressait toujours mes cheveux mais l’autre s’était posé sur le haut de ma cuisse au-dessus de ma robe. Après un petit silence, il me répondit que sa femme l’avait très déçue en couchant avec le pharmacien du village et qu’il n’avait plus envie de revivre cela : « Et j’ai ta mère, elle s’occupe très bien de moi en entretenant la maison et en faisant mes repas. Je n’ai besoin de rien d’autre. » J’avais très envie d’aller plus loin en lui demandant comment il voyait sa vie sexuelle mais cela me semblait un peu déplacé.
    
    Comme il me vit perplexe, il continua sur sa lancée : « je vois qu’il n’y a pas que cela, tu as l’âge de comprendre maintenant, tu te demandes si entre ta mère et moi, il y a autre chose ? » André était intelligent, il avait lu dans mes pensées mais ne savait pas que j’étais au courant de leur liaison depuis longtemps : « Oui Josiane ! Colette et moi nous nous donnons du plaisir mais cela n’est pas de l’amour, ce n’est uniquement hygiénique. » À cet instant, je devais me lancer et en profitai pour rétorquer :— Elle va certainement vous manquer cet après-midi, vous faites ça souvent les dimanches, je vous ai déjà surpris.
    
    Le docteur était très gêné, il piqua un fard, il était devenu rouge comme une tomate. Après quelques secondes de silence, se sentant pris au piège, il essaya de me faire comprendre de me lever en disant : « Allons manger, le déjeuner doit être chaud. » Le voyant inactif et surpris, je compris que si je ne ...
    ... faisais rien, il ne passerait pas à l’offensive. Je pris sa main et la passa sous ma robe en lui disant : « Si vous le désirez, je peux remplacer ma mère. » Avant toute tentative de recul de sa part, Je le pris immédiatement par le cou et approchai mes lèvres des siennes afin de l’embrasser. Il était alors dans mes griffes, il répondit à mon baiser.
    
    Il m’embrassait fougueusement, sa main entre mes cuisses, ses doigts glissaient sous ma petite culotte. Je mouillais déjà, excitée comme jamais. Lorsqu’il s’en était aperçu, pris par le remord, il me demanda de me lever : « Non Josiane, tu es comme ma fille, je ne peux pas. »— Je ne vous plais pas ? Je désire que vous poursuiviez mon éducation mais sexuelle, cette fois.
    
    — Tu es une femme maintenant et très jolie de surcroit mais…
    
    J’étais à présent à califourchon sur lui, je frottais énergiquement mon pubis contre son sexe que je sentais dur comme du bois. Le docteur pris de frénésie, ne pouvait plus reculer, ses pulsions l’empêchaient de se rendre compte qu’il allait baiser la jeune pucelle qu’il avait élevée pendant 18 ans. Il m’aida à défaire son pantalon et son slip kangourou lorsque je m’étais glissée à genoux entre ses jambes. Ma position était sans équivoque, assez gêné, il voulut se rassurer : « Tu veux vraiment me faire ça ? »— Oui Monsieur André, je vais essayer de faire comme ma mère.
    
    André assis au bord du fauteuil, penché en arrière sa tête reposant sur le dossier, exhibait fièrement son beau sexe érigé ...
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