« Josy » La reine de la nuit. Épisode 1 : la naissance d’une petite salope.
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... pas sortir. Ma mère et moi étant nées le même mois, en mars 1968, je fêtais mes 18 ans et Collette ses trente-sept. À cette occasion, Jean- Charles dont l’épouse était à la maternité, fut invité par son père pour le diner du samedi-soir. Son épouse étant absente, le fils demanda à son père si Colette pouvait venir le lendemain afin qu’elle lui prépare ses repas. André n’ayant jamais su que son fils couchait encore avec la bonne, avait accepté à la seule condition que sa petite Josiane remplace sa mère :— Ne vous en faites pas Docteur, elle n’aura qu’à réchauffer les plats, tout est déjà prêt. Elle sera aux petits soins. Dit Colette
Je n’étais pas dupe, je me doutais bien qu’ils allaient baiser toute l’après-midi, cependant, j’étais très heureuse de me retrouver enfin seule avec André. C’était la première fois, je ne savais pas comment cela allait se passer, allait-il lancer les hostilités en me considérant comme une femme ? j’en doutais fortement, cela ne tiendrait qu’à moi, je lui sauterais au cou pour le galocher puis je lui sortirais la queue de son pantalon pour la sucer. Je savais faire, je m’étais suffisamment entrainée à le faire avec toutes les bananes que j’ingurgitais.
Ce dimanche en fin de matinée, lorsque nous étions revenus de l’église, Monsieur André s’assis sur le fauteuil en attendant que je réchauffe les plats. Je m’étais approchée près de lui, pensant qu’il allait passer sa main sur mes fesses puis je demandai au docteur s’il désirait que je lui ...
... serve l’apéritif. Ce ne fut pas le cas, cependant, il me sourit en me disant : « Je veux bien Josiane, tu es un ange. » Ce fut un réel exploit, il était tellement avare de compliment que j’en étais restée bouche bée mais très heureuse de cette flatterie. Pourtant je n’attendais qu’une chose, c’était qu’il soit bien plus tactile avec moi. Devrais-je faire des avances ? Pensais-je.
Je me doutais bien que je n’étais plus pucelle avec le nombre de fois que je m’étais enfilé une carotte ou une banane dans le vagin lors de mes nombreuses masturbations. Cependant je n’avais pas eu le loisir de ressentir une vraie verge dans mes entrailles et cela commençait à me chagriner, il était temps que je devienne une vraie femme. Aujourd’hui, le seul homme à ma disposition était le médecin de 63 ans, je me moquais bien de son âge, pour moi, j’appréciais beaucoup André, le père que je n’avais pas eu mais surtout l’amant de ma mère et je désirais qu’il devienne également le mien.
Me voyant me trémousser autour de lui, le docteur avait compris que quelque chose me tracassait et me demanda : « Qu’y a-t-il Josiane ? As-tu quelque chose à me dire ? Viens là ma puce. » Poursuivit-il en me tirant vers lui. Je me retrouvai assise sur ses genoux comme lorsque j’avais dix ans : « Alors dit-moi ce que tu as. On dirait que tu es amoureuse, peut-on savoir qui c’est ? » redemanda-il en me caressant ma chevelure : — Ce n’est pas ça Monsieur André, je m’inquiète pour vous. Pourquoi vous ne vous êtes jamais ...