Les motards
Datte: 27/01/2025,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
inconnu,
groscul,
poilu(e)s,
fépilée,
caférestau,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
journal,
lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... un réel plaisir à la regarder se déshabiller. C’est beau une femme qui se déshabille. J’avais remarqué que nous le faisions toutes à peu près dans le même ordre. Élodie n’échappa pas à la règle : tee-shirt, jupe, soutien-gorge et slip. Il m’arrivait parfois de procéder par étage : tout le haut puis tout le bas rien que pour changer. Je la voyais à contre-jour et de dos. J’adorais ses hanches pleines et ce petit décrochage en haut des cuisses qui l’élargissait. Les fesses me semblaient de plus en plus blanches par contraste avec le reste de sa peau bronzée. Je me répétais :que c’est beau une femme nue ! Mon clitoris souhaitait manifestement sortir de son capuchon, mais je ne lui cédai pas et nous sommes allées sur la terrasse. Elle avait fait griller quelques tranches de pain, la salade était délicieuse, nous avons tout englouti. Je connaissais un peu plus de sa vie et elle de la mienne.
— Attends, j’ai autre chose
Elle se leva et en passant elle accrocha le paréo qui resta suspendu à la poignée de la porte de la terrasse. Elle ne s’en soucia pas et continua nue. Elle revint avec deux parts de tiramisu. Elle se rassit normalement, mais sans remettre le paréo.
— J’adore le tiramisu.
— Moi aussi, c’est doux et onctueux comme toi.
Nous nous sommes regardées longtemps les yeux dans les yeux, sans parler. J’ai cru que nous allions pleurer l’une en face de l’autre sans trop savoir pourquoi. Elle se leva, retourna s’habiller. Quand elle est revenue, elle s’est penchée ...
... vers moi, elle a tenu mon visage entre ses mains et m’a embrassée avec beaucoup de tendresse. J’avais une envie folle de la retenir, mais elle se retourna et avec un grand sourire :
— Je pense que nous serons amenées à nous revoir, passe un bon week-end.
J’entendis la porte claquer. Je rangeai rapidement la terrasse et je jetai ce que j’avais préparé dans mon sac. Je me couchai, il y avait encore quelques lueurs de jour et la nuit serait courte. Je remis en sourdine « quelques fois si seules, mais parfois elles le veulent » et ce fut moi qui écrasai une larme en m’endormant.
Le réveil sonna à cinq heures et à six j’étais dans la voiture direction plein ouest. Je n’étais pas toute seule, mais à huit heures je prenais un café du côté d’Orléans et j’arrivai à l’hôtel vers onze heures, j’étais passée par les routes de campagne. La chambre n’était évidemment pas disponible. Mais j’avais accès à la piscine. Je me changeai, j’avais prévu un haut de maillot, mais il était dépareillé et détendu, n’ayant plus l’habitude d’en mettre depuis longtemps. J’étais seule autour du petit bassin. Je m’installai sur un transat, le bonheur ! Un bonheur éphémère qui sera troublé par l’arrivée de deux enfants bruyants et incontrôlables qui me feront fuir.
Dans le vestiaire femme, étonnamment, il y avait une douche à l’ancienne à deux places sans porte. Une place était occupée par une femme qui se douchait nue, ce qui me surprit. Elle devait avoir une petite cinquantaine, de cheveux bouclés ...