1. Les motards


    Datte: 27/01/2025, Catégories: f, ff, fplusag, inconnu, groscul, poilu(e)s, fépilée, caférestau, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... cachée entre mes cuisses, je ne cherchai pas à comprendre comment elle était arrivée là.
    
    Je n’avais pas descendu les stores et je fus réveillée par la lumière du jour déjà intense. Je repensai au film puis à Élodie puis au film. La journée passa vite, j’appelai Audrey la DRH pour lui dire que je ne serai pas là le lendemain elle me répondit simplement :
    
    — Moi non plus.
    
    J’avais senti qu’elle n’avait pas encore digéré le départ d’Anna, mais surtout l’appel de ce Monsieur Poussin. Quelques minutes plus tard, elle me rappelait :
    
    — Au fait, j’ai oublié de te dire tu auras une secrétaire dans quinze jours, je n’ai pas pu faire mieux. Je te préviens, différente d’Anna, mais pas beaucoup de choix.
    — C’est parfait, merci !
    — Bon week-end.
    
    Le fait qu’elle soit différente d’Anna ne me dérangeait pas, par contre cela sonnait presque comme un avertissement. Je n’étais cependant pas trop inquiète, Audrey avait un tempérament volcanique, mais c’était une excellente DRH qui prenait soin du personnel, ce qui n’était pas toujours le cas de ses collègues. De plus, elle n’avait aucun pouvoir hiérarchique sur moi.
    
    Je quittai vers seize heures. J’avais tout le temps pour préparer mon sac, mais, plus je prenais d’années et plus j’avais du mal à voyager léger. J’avais frôlé le supplément bagage pour un déplacement de trois jours à Zurich ! Je pris le temps d’une petite séance de bronzage, je prenais un hâle qui me plaisait bien. Comme disait Élodie « au diable les mélanomes ! ». ...
    ... Une fois encore, je pensais à elle. J’avais étalé sur le lit tout ce que je comptais emporter. J’avais été raisonnable, un gros sac serait suffisant.
    
    Mireille me rappela quelques minutes simplement pour me dire que si je voulais venir accompagnée, il n’y avait pas de problème, il y avait beaucoup de chambres et les lits étaient grands. Quelques instants plus tard, Élodie m’appelait, j’hésitai, mais je ne résistai pas à la tentation de lui répondre.
    
    — Je ne pars que demain finalement ! On se fait une salade ce soir ?
    
    J’étais prise entre deux sentiments, celui de ne pas me laisser envahir et celui d’avoir envie de la voir. Le premier me semblait un risque réel, Élodie allait s’accrocher, mais je ne pouvais pas résister au second.
    
    — OK, mais je pars aux aurores demain matin
    — J’arrive, je suis en bas !
    
    J’avais cru avoir mal compris, mais elle était réellement en bas et l’interphone grésilla. Juste le temps de mettre un paréo, je ne voulais pas être provocante. Elle portait un grand sac en papier marqué du sigle de la supérette voisine. En posant le sac, elle me dit :
    
    — Dommage, il n’y avait pas de chien.
    
    Nous avons ri, je lui avais raconté l’épisode du chien. Elle prit possession de la cuisine et confectionna une salade composée rafraîchissante.
    
    — On mange dehors ?
    — Si tu veux, mais il me faut un paréo ou alors toutes nues.
    — Je vais te chercher ça.
    
    J’avais pris cinq paréos pour les trois jours sous prétexte que ça ne prenait pas de place… Je pris ...
«12...456...9»