Les motards
Datte: 27/01/2025,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
inconnu,
groscul,
poilu(e)s,
fépilée,
caférestau,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
journal,
lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... comme les miens, mais plus fins et châtains. Elle était de dos, elle avait de très jolies fesses, un peu lourdes et légèrement grassouillettes. Elle se retourna et me fit un grand sourire. Elle avait un très joli visage et, ce qui me frappa, elle avait encore son rouge à lèvres. Des yeux verts clairs lui donnaient un regard intense. Ses seins étaient attachés haut avec des pointes roses manifestement tendues et des petites aréoles. Un ventre simplement bombé barré d’une large cicatrice de césarienne juste au-dessus d’une abondante toison qui, même mouillée, masquait complètement sa fente.
Je retirai mon maillot et je sentis son regard observateur. J’allai sous la douche, elle me regardait toujours. Je trouvais ses yeux verts trop verts, mais elle avait un si joli sourire ! Elle voulut engager la conversation, mais en hollandais, ce qui ne me convenait pas. Je lui proposai l’anglais, elle fit la moue. Nous tombâmes d’accord sur l’allemand, mais avec lenteur. Nous nous sommes rapidement présentées. Elle avait repris dans sa main du gel douche et commençait à me badigeonner les épaules puis, elle me fit tourner pour frotter mon dos.
Au fur et à mesure qu’elle passait ses mains sur moi, elle accélérait le rythme de ses paroles à tel point que j’en perdis le fil. Elle reprit une nouvelle dose de gel et s’attaqua à mes fesses. Ses mains étaient douces, je n’avais pas envie qu’elle arrête. J’avais l’impression de revivre presque exactement geste pour geste, la douche avec ...
... Matilda. Emma, elle s’appelait Emma, s’attardait longuement sur mes fesses. J’avais l’impression d’être enveloppée dans un nuage de caresses, elle ne me touchait que du bout des doigts ce qui provoquait une myriade de frissons. Je fis demi-tour, ses yeux quittèrent les miens pour s’intéresser à mon organe du plaisir qui s’était déployé sans pudeur. Je l’entendis murmurer :
— « Das wäre wirklich super ! » C’est génial !
Elle reprit du gel et avec beaucoup de délicatesse elle caressa mon clito tendu à l’extrême. Nous ne parlions plus ni l’une ni l’autre. Je m’appuyai contre la paroi de carrelage pour ne pas perdre l’équilibre avec les jambes écartées et légèrement fléchies pour faciliter la caresse. Je m’étais emparée de sa poitrine. Des seins très fermes que je pressais pour faire saillir encore plus les petits tétons roses. Elle n’accentuait ni le rythme ni l’intensité de ses caresses. Ces doigts semblaient tourbillonner gracieusement autour et sur mon gros bouton comme un vol de papillon qui viendraient frotter leurs ailes.
À mon tour, je lâchai un sein pour m’aventurer dans la broussaille de ses poils. Ils étaient denses, serrés les uns contre les autres. Ils n’étaient pas mouillés que par l’eau de la douche, mais aussi agglutinés par des sécrétions vaginales abondantes et un peu collantes. Nous avions adopté la même position, côte à côte, appuyées contre le carrelage, les jambes ouvertes. Je la regardai un instant, elle avait les yeux ouverts, mais révulsés et qui, ...