1. Les motards


    Datte: 27/01/2025, Catégories: f, ff, fplusag, inconnu, groscul, poilu(e)s, fépilée, caférestau, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... possible de percevoir le léger ronflement des voitures sur la berge d’en face. Je grignotai je ne sais plus quoi et me glissai dans le lit ce qui était toujours, pour moi, un moment de bonheur et de bien-être absolu. Le contact des draps frais me donna presque la chair de poule avec pour conséquence immédiate un raidissement de mes mamelons. J’avais apporté une boîte de biscuits. En picorant, j’évitais de regarder mes cuisses, quant à mes fesses, je ne pouvais pas les voir, donc tout allait bien.
    
    Je regardai un film néerlandais qui, assez exceptionnellement, avait été tourné après la série du même nom. Je n’avais pas regardé la série entière, mais j’adorais l’actrice, Hannah van Vliet. Le film, Anne +, racontait l’histoire d’une jeune femme lesbienne qui se remémorait les rencontres et les amours qui l’avaient modelée. Dans le film, elle écrivait un roman avant de rejoindre sa compagne au Canada. Les images étaient très belles, ce n’était pas du tout un film de propagande lesbienne, mais simplement un film d’amour. Je m’identifiais totalement à ce personnage, car les femmes que je rencontrais depuis quelque temps me permettaient aussi de régénérer ma façon d’appréhender la vie. J’en avais les larmes aux yeux. Chaque rencontre que faisait Anne lui permettait de s’ouvrir à d’autres sensations et cela correspondait exactement ce que j’étais en train de vivre. Mon attirance sexuelle pour les femmes modifiait profondément ma relation avec elles. Je me demandais si j’allais ...
    ... évoluer vers le lesbianisme pur et dur ou si je garderais quelques relations masculines. Le souvenir du sexe de Julien ne me laissait pas encore indifférente. Le film n’était pas du tout un film de cul, mais de tendresse partagée et aussi de dureté. Je regrettais de ne pas comprendre un mot de néerlandais, langue je ne trouvais par ailleurs pas très musicale, car les dialogues en V.O. sont toujours meilleurs.
    
    Je me caressais presque machinalement en regardant les dernières images, je persistais même jusqu’à la dernière ligne du générique. L’ombre d’Élodie se substitua assez rapidement à celle de l’actrice hollandaise. J’avais conscience qu’Élodie m’avait, sans doute, plus marquée que je ne voulais bien me l’avouer. Nous avions passé la nuit dans le même lit sans faire l’amour, comme un vrai couple. La comparaison m’amusa. Je continuais à titiller mes bouts de seins pendant le générique de fin. Ils me procuraient toujours des ondes de plaisir sans que je puisse vraiment en définir le niveau et l’intensité. C’était une stimulation fort agréable, mais qui ne m’avait jamais conduite à l’orgasme. Je repensais à Amélie qui, elle, semblait-il, arrivait vraiment à jouir des seins. Je devais avouer que j’en avais douté. J’étais encore tout imprégnée de la petite Hollandaise, je n’avais pas envie d’aller plus loin et je m’endormis presque sans m’en rendre compte. Je me réveillai au milieu de la nuit, l’écran de la télé était encore allumé. Je cherchai la télécommande que je retrouvai ...
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