1. La Détention


    Datte: 26/01/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica

    ... elle vit aussi qu'elle tenait dans sa main un fouet qui se terminait par plusieurs longues lanières. Arielle ne put s'empêcher d'éprouver un mélange de honte et d'appréhension. Celle qui devait la châtier remarqua probablement son trouble car elle lui lança :
    
    - alors, la belle, on fait moins la fière maintenant. Sachez que je ne vais pas vous ménager. Bientôt vous allez sentir les lanières de ce fouet mordre votre peau. J'espère bien vous entendre crier, mais vous aurez beau gémir, pleurer, supplier, je ne m'arrêterai pas avant que vous ayez reçu les vingt-cinq coups auxquels vous avez été condamnée. Je vous demanderai de compter les coups et de me dire à chaque fois "Merci Madame la Surveillante Générale".
    
    Après avoir dit ces mots elle alla se placer derrière Arielle en demandant à Mlle Germaine d'aller se mettre devant et de l'avertir si la jeune fille oubliait de compter un coup afin qu'il ne soit pas retenu dans le décompte. Alors le supplice d'Arielle commença. Le premier coup s'abattit sur ses fesses avec un claquement strident. Malgré la douleur fulgurante, elle eut la force de dire à haute voix et très clairement :
    
    - Un, Merci Madame la Surveillante Générale".
    
    Elle parvint à le faire également pour les coups suivants qui s'abattaient toujours sur sa croupe. Elle comprit rapidement que la punition resterait dans la zone située entre le bas des reins et le haut des cuisses. C'était probablement prévu par le règlement car même le nombre et l'étendue des ...
    ... coups appliqués dans la maison de Détention devaient être soumis à des règles précises. Madame la Surveillante Générale et son adjointe étaient tenues de les respecter et ne devaient pas disposer d'un pouvoir absolu. Pendant que les coups continuaient, Arielle s'efforçait de ne pas crier, de ne pas offrir ce plaisir à celle qui cherchait à la faire souffrir. Son plaisir à elle consistait à se répéter qu'elle était fouettée, qu'elle était toute nue et qu'elle aimait ça. Elle entendit avec satisfaction la Surveillante Générale dire à son adjointe qu'elle s'était attendue à l'entendre hurler de douleur mais qu'elle n'avait pas la force de la frapper plus fort. Arielle conserva sa dignité jusqu'au bout et elle put dire fièrement : "Vingt-cinq. Merci Madame la Surveillante- Générale". Lorsque cette première punition fut achevée, Arielle dut se soumettre à l'épreuve du piquet. Toujours nue, le nez tourné vers le mur, elle devait rester une demi-heure immobile sous les regards des deux femmes. Loin de lui paraître désagréable, cette punition qu'on inflige aux enfants et aux écoliers désobéissants lui permettait, tout en se sentant encore nue, de se remémorer la punition qu'elle venait de recevoir. La brûlure de ses fesses la lui rappelait sans cesse. Elle se doutait aussi que les deux vieilles femmes pouvaient se repaître de la vue de son corps nu et de sa croupe flamboyante. Et cela aussi lui procurait un délicieux mélange de honte et de plaisir.
    
    A un certain moment elle entendit la ...
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