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La Détention
Datte: 26/01/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica
... porte s'ouvrir et quelqu'un entrer brusquement. Madame la Surveillante générale s'écria : " - Mais enfin Guillaume, vous pourriez frapper avant d'entrer. Qu'est-ce qu'il y a? - C'est q'ya un qu'a apporté un paquet et faut mettre une signature - Bon. Donnez-moi le papier que vous tenez, que je voie de quoi il s'agit. Arielle se dit alors que le père Guillaume la voyait ainsi toute nue, tournée vers le mur, au piquet. Et comme Madame prenait son temps pour examiner le papier --le faisait-elle exprès?-- le père Guillaume avait lui aussi tout le temps de "se rincer l'œil" comme il aurait pu dire dans son langage vulgaire. Sur le coup, elle se sentit rougir de honte d'être ainsi vue par ce bonhomme assez répugnant. Puis comme la situation se prolongeait, elle pensa aussi que d'être ainsi livrée à la vue du père Guillaume allait tout à fait dans le sens de ses fantasmes. Alors à la honte s'ajouta un vif élan de plaisir qui la traversa comme un éclair. Elle pensa aussi que cette arrivée inopinée n'était peut-être pas aussi accidentelle qu'elle le parût. Le père Guillaume s'était peut-être aperçu qu'elle n'était plus dans sa chambre et avait voulu profiter de l'occasion. A moins, pensa-t-elle, que tout ait été organisé par Madame la Surveillante Générale pour lui imposer cette humiliation supplémentaire. Mais, si c'était le cas, elle ne pouvait que lui en être reconnaissante. On la reconduisit dans sa chambre après lui avoir rendu son peignoir. Vers le soir, elle ...
... entendit la porte s'ouvrir. C'était encore le père Guillaume qui venait lui apporter un plateau de dîner et un pyjama pour la nuit. Il la regarda d'un air entendu qui la fit rougir. Il déposa le pyjama sur le lit puis sortit sans dire un mot. Elle prit rapidement son dîner, un vrai repas de prison! puis fit une douche qui apaisa sa brûlure. Comme elle était fatiguée par les émotions de toute cette journée, elle décida d'aller se coucher tout de suite. En prenant son pyjama elle constata qu'il n'y avait qu'une veste et pas de pantalon. Elle se demanda si c'était un oubli ou si on l'avait fait exprès pour lui faire sentir sa nudité et prolonger son humiliation. Mais sous les draps, sentant tout le bas de son corps dénudé, elle se caressa délicieusement en se repassant toutes les images si excitantes de ce début de Détention. Le lendemain matin, au réveil, elle se leva et s'assit devant la table en feignant de lire l'un de ses livres de classe. Elle n'avait pas remis son peignoir. Au fond il ne lui aurait pas déplu que le père Guillaume la surprît aussi peu vêtue lorsqu'il viendrait lui apporter le plateau du petit-déjeuner. Elle découvrait que plus encore que la souffrance infligée par le fouet, ce qui lui plaisait c'étaient les humiliations, en particulier celle qu'elle éprouvait à se sentir nue sous un regard étranger. La porte s'ouvrit mais ce ne fut pas Guillaume qui apparut mais Mlle Germaine qui se montra très en colère de la trouver vêtue d'une simple veste de ...