1. La Détention


    Datte: 26/01/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica

    ... punie. Elle allait être mise nue pour être punie. Qui allait la punir? Avec quel instrument? Elle ne pouvait s'empêcher parfois d'ouvrir son peignoir pour voir ce corps nu qui allait être battu. Elle regardait ses seins, ses cuisses qui allaient être longuement regardés par ces deux femmes âgées si sévères.
    
    Elle attendit assez longtemps en remuant toutes ces images. Puis à nouveau ce fut le délicieux bruit de la clé dans la serrure. A nouveau elle marcha pieds nus dans le long couloir derrière Mlle Germaine. A nouveau elle se retrouva devant le bureau de Madame la Surveillante Générale qui était en train de téléphoner. Elle fit un signe à son adjointe lui indiquant l'autre côté de la pièce en lui disant :
    
    - Préparez-la pour la correction.
    
    Mlle Germaine entraîna Arielle un peu plus loin. La jeune fille remarqua que des anneaux pendaient du plafond. C'était donc là qu'elle allait être attachée et que la punition aurait lieu. Pendant ce temps la Surveillante Générale continuait sa conversation avec son correspondant qu'elle appelait "Mon cher ami". Comme celui-ci devait lui avoir demandé la signification de la phrase qu'elle venait d'adresser à Mlle Germaine, elle précisa :
    
    - oui je vais devoir m'occuper d'une punition
    
    et un peu plus tard elle ajouta
    
    - oui une élève, une grande.
    
    A ce moment, Mlle Germaine demanda à Arielle de retirer son peignoir. La Surveillante Genérale répondait alors à son correspondant.
    
    - Nue, bien sûr, toute nue.
    
    Ainsi cet ...
    ... homme lointain pouvait maintenant s'imaginer qu'une grande fille, pensionnaire de cette institution, allait recevoir une punition et qu'elle serait toute nue. Et Arielle pensa avec délice que cette grande fille toute nue c'était elle. Pendant que la conversation téléphonique se poursuivait, Mlle Germaine faisait descendre les deux anneaux et commençait à lier les mains d'Arielle à ces anneaux à l'aide de cordons blancs. Elle attacha de même ses chevilles à deux autres anneaux qui étaient fixés au sol. Puis elle tira sur une corde qui remonta les anneaux des mains et obligea Arielle à lever les bras. Elle était maintenant entièrement immobilisée, à la merci de ces deux femmes qui pouvaient disposer d'elle à leur gré. Devant elle, un miroir était fixé au mur. Elle se vit telle qu'on pouvait la voir: le délicieux corps d'une jeune fille nue attachée à des anneaux s'offrait aux regards sans pouvoir se retourner ou se cacher. Elle entendit la Surveillante- Générale terminer sa conversation en disant
    
    - bien sûr, sans pitié!.
    
    Arielle se demanda si ces derniers mots se rapportaient à elle.
    
    La Surveillante se leva et se dirigea lentement vers la fille qui allait être punie. Elle se plaça devant Arielle en lui cachant son image dans le miroir. Longtemps, en silence, elle regarda le beau corps nu qui était devant elle. Arielle s'aperçut que les yeux de la Surveillante-Générale suivaient toutes les courbes de son corps. Elle se sentit belle face à cette vieille femme difforme. Mais ...
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