Modèle, Photographe et Catalogues
Datte: 26/01/2025,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... changer d’habits…
— Moi aussi, je ne déteste pas le changement, mais pas au point d’avoir une nouvelle tenue le matin et une autre l’après-midi ! Alors, la prochaine fois, ne commande plus rien sur catalogue tout seul dans ton coin, et choisissons ensemble ! Ok ?
— Ok, ma chérie !
— Ça va faire une bonne dizaine de fois que je te le demande, mais tu n’en fais qu’à ta tête.
— J’aime t’offrir divers cadeaux…
Oh oui, ma garde-robe subit aussi une nette amélioration vers le haut de gamme. Mon vicieux de petit-grand ami aime beaucoup me faire parader dans des robes assez échancrées, du genre « plus il y a de trous, plus c’est cher ». On parle du prix de l’or, mais le prix du tissu au mètre-carré doit le dépasser allégrement !
— Mais, mon trésor, je suis carrément nue avec cette robe !
— Tu es carrément sublime, ma chérie !
— Gros idiot ! Ça ne te gênerait pas de me balader toute nue à ton bras, uniquement vêtue de quelques colliers !
— Bonne idée ! Et la fois suivante, ce sera sans les colliers.
— Pff !! T’es vraiment un gros idiot, va !!
Et je ne vous ai même pas parlé des bikinis… Plus c’est mini-riquiqui, plus c’est maxi-prix !
— Mais… c’est mettable, ce truc ??
— Il faut croire que oui, ma chérie, puisque ça se vend…
— Tu parles, ça couvre tout juste les tétons !
— Au moins, ça les couvre…
— Et en bas, ça couvre à peine la fente, et le reste, c’est juste une ficelle ! Je vais me retrouver la touffe et les fesses à l’air !
— Un bosquet peut se tailler ...
... ou même s’enlever…
— Ah d’accord, gros filou ! Tu veux que je me rase la chatte, c’est ça ?
C’est un peu ostentatoire, tout ça. Parfois, je me demande si je ne suis pas purement et simplement le jeune trophée du vieux guerrier. Parfois aussi, je me demande si Jean-André ne projette pas sur moi la mère de ses enfants, son premier et vrai amour. Mais je sais à divers détails que c’est bien de moi dont il s’agit, et que je ne suis pas un simple clone, ni un butin juvénile qu’on exhibe (enfin, pas toujours).
Il ne faut pas non plus négliger l’aspect pratique, car je me retrouve assez souvent sur les pages des divers catalogues. En clair, mon amant veut le beurre, l’argent du beurre et surtout la crémière ! Gros canaillou, va !
Je ne vais certainement pas râler d’être choyée et désirée, c’est un peu comme si ça compensait ma morne enfance entre quatre murs. C’est vrai que je n’ai pas beaucoup rigolé à l’orphelinat, avec ces grands dortoirs sans intimité, ces journées répétitives, tout le monde habillé pareil, sans affection. C’est peut-être là qu’il faut trouver la source de ma liberté de baiser (appelons un chat un chat) quand j’étais modèle aux Beaux-Arts.
De plus, il n’y a pas de mal à se faire du bien, surtout avec des mâles !
Avec Richard, puis avec Jean-André, je suis devenue plutôt monogame. Le père comme le fils ont l’avantage incontestable de savoir-faire jouir une femme (moi en tout cas). Pourquoi irais-je chercher ailleurs ce que j’ai sous la main ? Dans ...