Douce initiation
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
ff,
fplusag,
vacances,
amour,
caresses,
init,
lesbos,
Auteur: Maryse, Source: Revebebe
... incroyablement doux qui lui prouvait que sa décision était la bonne, qui lui montrait toute l’affection et tout l’amour dont elle était l’objet, qui la propulsait dans un monde merveilleux. Un baiser qui transformait ses rêves en réalité, qui l’emplissait d’une incroyable jubilation, d’un sentiment d’allégresse inouï comme elle n’en avait jamais éprouvé. Un baiser qui lui fit l’effet d’un véritable séisme. Les lèvres abandonnèrent les siennes pour glisser lentement sur sa joue, étreindre ses yeux, redescendre sur son cou en la faisant haleter pour fusionner avec les siennes, avec une telle passion qu’une zone d’elle, jamais atteinte, se mit à vibrer de façon vertigineuse. Elle était stupéfaite de se rendre compte que partager l’amour d’une femme était simple, naturel, allait de soi.
Jamais elle n’avait été autant stimulée, aussi éblouie, aussi extasiée. Chaque fois qu’elle croyait tout connaître de son corps, Florence lui faisait découvrir une nouvelle facette d’elle qui lui ouvrait de nouvelles perspectives.
Toute entière livrée à ses sensations toutes nouvelles qui la plongeaient dans un état émotionnel et physique indescriptible, elle émit un long gémissement lorsque les deux paumes brûlantes parcoururent ses bras en y laissant une traînée de feu, avant de serrer les siennes avec ardeur. Elle sentit le regard ardent pénétrer le sien, s’enfonçant loin en elle.
— Tu me combles, Maryse… Dis-moi tout le plaisir que tu éprouves à sentir mes mains sur toi. Dis-moi où ...
... tu veux que je te caresse, ce que tu désires vraiment.
Elle qui avait toujours été réservée, pudique sur ses émotions, trouva sans difficulté les mots qu’il fallait et exprima sans honte et sans rien cacher tout ce qu’elle avait dans le cœur. Sa logeuse l’écouta avec ferveur, la relançant de ses caresses divines. Elle avoua avec une candeur toute innocence, son besoin dévorant de se lier à elle, de partager avec elle l’extase que seule l’union totale de deux êtres faits pour être ensemble procure ! Et tandis qu’elle parlait, emportée par la passion, ses mains, mues par le désir, s’agrippèrent aux épaules de Florence pour l’attirer à elle, pour presser sa poitrine contre celle tant convoitée. Et lorsque leurs lèvres se joignirent, elle fut happée par un incroyable sentiment d’allégresse. C’était comme si elle faisait l’amour par leurs bouches. Elle avait l’impression que leurs deux corps fusionnaient et se mélangeaient.
De merveilleuses et exaltantes secondes s’écoulèrent, plus intenses, plus intimes les unes que les autres. Elle sentit comme une déchirure lorsqu’elle sentit Florence se détacher d’elle. Elle n’eut pas le temps de protester ni d’exprimer sa frustration que déjà, celle-ci, à genoux à côté d’elle, remontait sa chemise de nuit d’une main légère, dénudant progressivement ses cuisses, sa culotte puis son ventre. Elle frémit de tout son être lorsqu’elle sentit les lèvres se poser sur le haut de son ventre pour déposer, sur sa peau vibrante, un baiser brûlant, ...