Les jeux dorés de Dorothée - 2
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
uro,
confession,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jules Fontaine, Source: Revebebe
... Il a souri encore plus. Tranquillement, il a fait glisser le zip de sa braguette et sa main est partie chercher un paquet de chair qu’elle a remonté par-dessus son slip. Il a saisi le bout de tige qu’il a remué d’avant en arrière, découvrant un gland écarlate. Sophie était fascinée. Je regardais le spectacle avec délice.
— À mon tour maintenant.
Et les premières gouttes d’urine ont fuité, bientôt suivies par une belle cataracte arrosant le pied des buissons. Sophie était aux anges et j’avais très envie de me caresser. Avant de partir, il nous a prévenus que cette fois ne se reproduirait plus. Jamais plus. Nous étions trop jeunes, il risquait gros. On lui a dit au revoir à regret et lorsque nous sommes retournés chez elle, une fois enfermés dans sa chambre, nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre en riant.
— On est folles !
— Oui, mais on l’a fait !
Je te passe les détails, mais Sophie et moi avons fait toutes nos classes de sexe ensemble. Les jeux d’urine bien sûr, c’est avec elle que je suis devenue accro. Les plans à plusieurs aussi. Mais je t’embête avec mes histoires…
— Pas du tout ! Au contraire. Raconte…
Nous sommes nus tous les deux, côte à côte accoudés au bar. Sa cuisse touche la mienne et nous flottons dans une bulle de plaisir.
— En-tout-cas, tu imagines bien que de commencer sa sexualité avec de telles envies, c’est compliqué parfois.
— Je veux bien te croire. Tu as dû pourtant trouver des partenaires un peu plus ouverts que ...
... d’autres, non ?
— Oh oui, et heureusement. Le plus drôle, je m’en souviens encore, c’était un type avec qui ça boostait bien. Une bonne énergie, beaucoup de plaisirs partagés. Je le sentais un peu différent, plus ouvert que d’autres comme tu dis. Déjà, il n’avait pas hurlé lorsque mon doigt était venu en exploration du côté de son entrefesses. Il avait gémi au contraire. Je voyais bien qu’il avait envie de me demander quelque chose, mais rien ne sortait de sa bouche. Rien jusqu’au jour où nous étions en balade en forêt et il m’a demandé :
— Ça te gêne si je pisse devant toi ?
— Devant moi ou sur moi ? J’ai comme l’impression que tu n’oses pas me dire un truc.
— Sur toi ? Mais tu es tout habillée.
— Si c’est ça le problème.
Et j’ai ôté ma robe et ma culotte. Nous étions sur un sentier forestier peu fréquenté. Je l’ai encouragé.
— Allez, vas-y, mon loup. Tu en meurs d’envie. Et moi, j’adore ça, alors vraiment, ne te gêne pas.
Dorothée avait fini trempée de pisse et elle avait sucé son compagnon du jour au milieu des pins et des fougères. Elle riait encore en me racontant l’anecdote.
— En parlant de sucer, tu sais quoi, mon chéri ? Si tu allais t’installer tranquillement sur le canapé, que je puisse te dévorer tout entier, ça te dirait ?
Dorothée aime avoir une queue à sucer, ça la rend dingue. Elle aime réveiller ce bout de chair qui grandit en durcissant jusqu’à devenir une tige inflexible sur laquelle elle ira s’empaler. Elle la cajole avec douceur et passion, ...