Les jeux dorés de Dorothée - 2
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
uro,
confession,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jules Fontaine, Source: Revebebe
... urine et je bande de plus belle.
— C’est trop bon de me passer le clito sur ta queue. Tu sens comme je m’agace le bouton avec ton gland ? Attends, et là, tu sens comme je t’arrose doucement ? Mon ventre est lourd comme jamais. Je vais pouvoir pisser au moins un litre sur toi. À mon tour de te baptiser. Tu sens ma chaleur couler sur toi, mon chéri ?
La chaleur, putain, oui ! Une onde brûlante qui me coule le long du sexe jusqu’aux couilles. Et l’odeur aussi, un peu forte, mais enivrante. Et puis aussi la sensation délicieuse de jouer à des jeux très rares. Et de surcroît, d’y être convié par la plus désirable des femmes.
Dorothée agite toujours son bassin sur ma queue en l’arrosant de petits jets brefs, une technique qu’elle semble maîtriser parfaitement. Elle gémit en continu, un son grave entrecoupé de soupirs plus aigus. Elle semble retenir son orgasme, jusqu’au moment où ce n’est plus possible. Tout s’accélère d’un coup et je la sens se tendre et se relâcher par deux fois, son torse contre ma poitrine. Entre nos deux bas-ventres, mon sexe s’est lui aussi tendu une dernière fois et je jouis doucement.
Dorothée se redresse, elle s’assoit sur mes cuisses. Elle tend un doigt vers mon ventre couvert de sperme et joue à dessiner des arabesques sur ma peau. Lorsqu’elle porte son doigt couvert de semence à sa bouche, elle me sourit et me dit que j’ai bon goût.
— On a mis un joli bazar dans ton salon.
— Pas d’inquiétude. Regarde, j’ai prévu des vieux draps pour ...
... éponger. Aide-moi. On les met à la machine et ils seront secs avant la fin de la soirée. Tu as faim ? J’ai prévu des petits trucs, mais on se prend une douche avant. Une vraie, je veux dire…
Une fois lavés et séchés tous les deux, j’aide Dorothée à disposer les plats sur le comptoir du bar, tout un assortiment de mezzés libanais. J’en salive à l’avance.
Elle a sorti des bières du frigo et une grande carafe d’eau fraîche. Elle m’explique qu’elle préfère couper un peu sa bière, c’est plus diurétique selon elle. J’accepte de la suivre et nous commençons à discuter tout en grignotant.
— Je parie que tu te demandes comment j’ai pu développer ce goût pour le pipi.
— Bingo. J’avoue que c’est vraiment nouveau pour moi. J’adore ça, ne crois pas ! Merci pour cette découverte d’ailleurs. Mais ça me semble tellement…
— Dingue ? Sale ? Intime ? Cochon ? Qu’il faut être malade pour aimer ça et en redemander ?
— Sans doute un peu, oui. Mais pour le moment, je te jure que je m’en fous. L’essentiel, c’est ce plaisir incroyable que tu m’as fait vivre. Et je ne demande qu’à recommencer.
Nous avons trinqué et Dorothée a commencé à me raconter son histoire.
— Je te l’ai dit, chez moi quand j’étais gosse, pisser c’était un truc naturel. Personne ne se cachait. Mais ce n’était pas lié à un truc sexuel en particulier. Ça l’est devenu plus tard, je devais avoir seize ou dix-sept ans par-là, et il y avait ce jardinier qui entretenait le parc public où j’allais jouer avec ma copine ...