Les jeux dorés de Dorothée - 2
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
uro,
confession,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jules Fontaine, Source: Revebebe
... Sophie. Je savais qu’il nous matait lorsqu’il prenait une pause, appuyé sur sa bêche. Il avait le visage ridé et les cheveux déjà bien gris. J’étais jeune, mais je n’avais pas mes yeux dans la poche comme disait ma grand-mère. Les regards du jardinier n’avaient pas non plus échappé à Sophie. Nous en parlions bien sûr sur le chemin du retour. Nous avions le même âge, à deux mois d’écart. Sophie était aussi petite que j’étais grande, je la dépassais d’une demi-tête. Mais côté sexe, elle avait une bonne longueur d’avance. Elle imaginait sans cesse des histoires avec le jardinier qui nous faisaient rire. Et puis c’était vaguement excitant. Sophie s’était mise en tête de voir sa queue.
— Et si on pissait devant lui, tu crois qu’il le sortirait son truc ?
Sophie m’a regardé, interloquée. Pisser devant un mec qui aurait pu être notre père, quelle idée ! Pour le coup, c’était moi qui passais pour la délurée. D’où j’avais bien pu sortir cette idée ? Après, je me suis souvenu des regards appuyés du plus vieux de mes frères lorsque j’allais pisser avec lui au jardin. Et au volume que prenait alors sa tige de chair. Je riais bien sûr, mais dans mon ventre, ça commençait à bourdonner.
J’ai rappelé à Sophie que nous avions souvent pissé ensemble, côte à côte ou face à face selon les envies du moment.
— Reconnais que c’est plutôt excitant, non ?
Nous avions depuis longtemps commencé nos premières explorations intimes. En solo d’abord, en duo ensuite. Pisser ensemble était vite ...
... devenu naturel. On ne se gênait pas pour s’observer mutuellement la minette. Puis on a eu envie de se toucher là où c’était rose et doux, et puis de se lécher pour connaître le goût.
Sophie s’est rendue à mes arguments et le lendemain, nous sommes parties au parc après avoir bu de grands verres de limonade très fraîche. Nous avons choisi un coin discret, non loin du parterre sur lequel le jardinier travaillait.
C’était le début de l’été et le jardinier portait un maillot blanc sans manches très échancré sur les épaules. La sueur perlait sur sa peau bronzée. Il nous a souri et nous lui avons adressé un petit salut de la main. À cet endroit, le parc formait comme un petit jardin à part. Entouré de buissons, il ne possédait qu’une entrée, celle où travaillait le jardinier.
Je me suis levée la première, me suis dirigée vers un arbre à quelques mètres de lui et je me suis accroupie après avoir abaissé ma culotte aux genoux. Et tout en le regardant droit dans les yeux, je me suis vidée devant lui. Le visage du jardinier affichait l’expression même de la surprise. Plus encore lorsque Sophie m’a rejointe et qu’à son tour, elle s’est accroupie devant lui avec la culotte aux genoux. Après, nous sommes restées immobiles, tétanisées par notre audace. Le jardinier souriait toujours, il a jeté un coup d’œil par-dessus son épaule et puis, rassuré, il nous a demandé ce que nous voulions. C’est Sophie qui a pointé son doigt vers l’entrejambe du garçon, dans un geste sans équivoque. ...