Louis m'invite à la ferme - Histoires de Sexe

Louis m'invite à la ferme

... accepté son invitation sachant très ce dont il était capable. Il me dit alors :

« Ca fait longtemps ma belle. Tu es encore plus slape que lorsque tu était fille de ferme ici ! J'ai bien aimé m'occuper de ta pute de Sofia et ton ami Christian est plein d’imagination. Mais je voulais goutter à tes charmes juste pour mon plaisir. Tu as toujours été excitante Michèle et maintenant avec tes grosse mamelles c'est encore mieux. »

Il s'approche de moi et tout en continuant son discours salace, il me fourre sa main dans la chatte et la fouille sans ménagement. Mon vagin dégouline de stupre et de mouille. Un désir humiliant et insidieux embrase mon corps. Ses doigts s'agitent diaboliquement dans ma grotte dilatée. Les ouvrier rigolent grassement de me voir me tortiller au bout de la corde. Puis il ressort sa main luisante de sécrétions et l’essuie sur mes seins. Il se recule et se vautre sur une botte de paille et lance à ses ouvriers :

« Une chienne comme elle mérite d’être punie ! Faite vous plaisir ! Fouettez-moi cette femelle ! »

J'écarquille les yeux et le supplie de ...

... ne pas faire une telle chose en lui promettant de faire ce que bon lui semblerait de moi comme au bon vieux temps. Mais son seule désir est de me voir soumise sous les coups des ces mâles.

Les coups ne tarde pas à marquer ma peau de trace rougeâtres qu'il trouve du plus bel effet. Aucune partie de mon corps n'est épargné. Je crie, je hurle, je gigote en tout sens. Ca ne fait qu'exacerber leurs excitation. Puis Louis donne l'ordre enfin de cesser le supplice. Il me détache et me soutien car mes jambes ne me soutiennent plus. Dans son esprit pervers, il décide de calmer la brûlure du fouet en me mettant sous une vache et en m’aspergeant de son lait crémeux et chaud.

L’humiliation touche à son comble mais il est vrai que le liquide crémeux me fait du bien.

Aprés un tel traitement, il me jette mes fringues souillés à la figure en me disant :

« File rejoindre ton cocu ! J'ai du travail ici ! Moi ! »

Sous les rires goguenards de mes agresseurs, je me rhabille à la hâte et honteuse rejoins mon domicile où je retrouve une certaine sérinité où une bonne douche m'attend.