1. Louis m'invite à la ferme


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, BDSM / Fétichisme Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    Suite à nos mésaventure avec ce vieux vicieux de fermier, Louis, celui-ci à décidé de me rencontrer à nouveau pour relier des liens comme il me dit.
    
    Ce vieux vicieux chez qui j'avais travail comme fille de ferme plus jeune et qui avait bien profité de moi avec l'aval de mon oncle Vick, souhaitait me rappeler le bon vieux temps passés.
    
    Il est laid, les cheveux épars et gras avec une bedaine peu avenante. Mais je ne sais pas pourquoi, j'acceptais son invitation juste pour voir ce qu’il voulait vraiment.
    
    Arrivée dans la cours de la ferme, les odeurs acres des bêtes agresse mon nez délicat et les souvenirs les plus salaces remontent à la surface. J’apercois Louis entrain de curer l'étable avec des ouvrier agricoles.
    
    J'hésite un instant et toujours pour voir ses réactions, je déboutonne deux boutons de ma robe légère, pour dévoiler mon opulent décolleté et me dirige vers la stabulation.
    
    Le vieux du coin de l’œil me regarde arriver. Arrivée dans l'étable, il me souhaite la bienvenue en m'embrassant sur la bouche et en me claquant les fesses avec sa grosse paluche caleuse. Malgré son âge avancé, il est toujours aussi vert ce salop. Les ouvriers agricoles continuent leurs tâches et semblent ne pas se soucier de ma présence.
    
    Il se met à me tourner autour pour m'évaluer comme il le ferait pour l'achat d'une vache. Je frissonne quand il me palpe les fesses et les seins en me glissant à l'oreille :
    
    « T'es encore plus appétissante que quand t'étais gamine grosse ...
    ... salope ! Montre moi si tu sais toujours traire une vache Michèle ! »
    
    Je me penche devant une belle laitière et laissant ouvert largement mon décolleté. Ses yeux écarquillés plongent dans ma gorge offerte. Cette sensation d'être à sa merci me fait mouiller malgré moi. Restant penchée pour mieux lui faire profiter du spectacle, je prend les pis et commence la traite. Ne pouvant pas détacher son regard de mes seins balotant au rythme de la traite, il me dit :
    
    « T'es bandante quand tu prends les trayons. On dirait que tu branles des bites et que tu les fais éjaculer. T'es toujours aussi salope Michèle. Tu me fais bander. Accroupis-toi que je vois ton culet ta chatte ! »
    
    Je regarde autour de moi. Les ouvriers sont toujours à leurs tâche et docile, je m’accroupis pour lui laisser le loisir d'examiner la marchandise. Dans cette position, il ne manque rien de mon anatomie. Je sens son regard pervers fouillant ma chatte juteuse. Alors comme par provocation, j’écarte mes cuisses. Je remarque la grosse bosse qui emplit son pantalon et n'ai pas besoin d'être voyante pour deviner la suite. Malgré cette position humiliante et la présence proche des autre ouvriers, une douce chaleur envahit mon ventre, mon clitoris se durcir et de la cyprine perler de ma grotte d'amour. Je reste sans bouger, offerte à son regard. J'ai le cœur qui martèle ma poitrine et le rouge me monte aux joues..
    
    « Tournes-toi Michèle ! J'vais t'saillir en levrette comme une femelle ! »
    
    Ses les deux mains ...
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