Louis m'invite à la ferme - Histoires de Sexe

Louis m'invite à la ferme

... saisissent mes hanches fermement et comme un rustre, il me pénètre jusqu'à la garde sans se soucier du moins du monde de mon plaisir en s'affranchissant de tout préliminaire. Je pousse un cri contenu de surprise et serre les dents pour que les ouvriers n'entendent pas.

Pour lui faciliter le passage, je me cambre un peu plus et écarte encore plus les jambes. Mes seins ballottent dans le vide sous les coups de boutoir du vieux mâle en rut. Tout en me bourrant, il se saisit d'un de mes tétons et exerce une pression dessus comme pour en tirer du lait. Il me pince durement et je me met à couiner.

Le plaisir monte par vague en moi et j'oublie son âge et la présence des ouvriers.Seules ses mains maltraitant mes mamelles de femelle en chaleur et son gland énorme qui me pourfend compte maintenant. Mais ce gros vicieux veut faire dure le plaisir. Il se retire et à mon grand damne, il appelle ses ouvriers pour continuer le travail. Aussitôt je me retrouve avec trois maghrébins qui sans vergogne se mettent à abuser de moi alors que Louis un rictus aux lèvres me regarde me faire défoncer par tout les bouts.

Dans cette orgie dont je deviens la victime, je remarque son énorme sexe tendu comme un arc qu'il masturbe doucement appréciant à sa juste valeur mon sacrifice.

Secouée par ces sexes monstrueux, je sens mon ventre s’embraser. Je deviens une femme fontaine sous ses yeux gourmands. Les trois lascars éjaculent rapidement en moi. J'avale une quatité de sperme impressionnante et ...

... quand les deux autres se retirent de ma chatte et de mon cul laissant deux trous béants, un flot de sperme et de cyprine gicle en abondance. D'un ton sec il ordonne à ses hommes de retourner au travail et brutalement il me fourre son engin au fond de ma gorge pour commencer à me baiser la bouche en me tirant par les cheveux. Tout à coup, je sens ses muscles se contracter et son sexe noueux est pris de spasmes. Son sperme chaud gicle par saccades frappant mon palais et le fond de ma gorge. Il joui dans un grognement bestial qui résonne dans le hangar et fait meugler les vaches. Il reste un instant plaqué au fond de ma gorge en enserrant douloureusement mes seins de ses mains caleuses. Je commence à étouffer mais il n'en a cure. Je ne suis que son jouet, une vulgaire femelle à remplir. Puis il sort de ma bouche et, toujours en me tirant par les cheveux, il vient plaquer sa bouche sur la mienne. Sa langue essaie de se frayer un passage entre mes lèvres. Je résiste mollement et cède le passage. En terrain conquis sa langue s’enfourne dans ma bouche engluée de son sperme et nos langues se mélangent. Se saisissant de mes poignets, il att**** une corde qui traîne à portée de main et m'attache en me suspendant à une poutre. Je gesticule en m'insurgeant. Mais c'est trop tard. Je suis à sa disposition, totalement impuissante et offerte. Ses ouvrier s'attroupent autour de moi et Louis affiche un sourire étrange qui en dit long sur le sort qu'il me réserve. Je me traite de conne d'avoir ...