Des mots sur un rêve
Datte: 24/01/2025,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
couleurs,
asie,
inconnu,
fsoumise,
revede,
noculotte,
caresses,
double,
fdanus,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
aventure,
occasion,
Auteur: Meemyne, Source: Revebebe
... dispositions.
Tout en parlant, il se rapproche de mon visage, me cajole, finit sa phrase dans un murmure contre ma bouche. Contact grisant qui me donne une irrépressible chair de poule. Le goût de leur baiser sur mes lèvres… Comme c’est doux ! Sa langue dans ma bouche repousse mon soupir alors que son bras passé sous le tissu léger de mon vêtement trop fin me presse contre sa poitrine. Sa peau moite me transmet son électricité comme il me serre avec force, une main sur l’arrière de ma tête accentuant la pression de nos corps l’un contre l’autre. Je suis debout contre lui, à nouveau nue et tremblante, le souffle perdu et déjà brûlante. Mes bras autour de son large torse l’enserrent aussi fort que possible. La sensation tactile de notre étreinte immobile dans ce baiser incandescent est indescriptible. Je voudrais pouvoir fusionner avec ce mâle au physique de magazine, pour partager toutes les sensations qui déferlent tant en lui qu’en moi. J’ai l’impression de n’avoir jamais ressenti quoi que ce soit de si fort. C’en est assourdissant.
Mes mains partent à la découverte de ce dos parfait, à l’affût du moindre frisson, avec une claire envie de fureter sur ses fesses alléchantes. À chaque fois que je palpe avec insistance un morceau de peau, un sursaut de langue envahit ma bouche, un soupir vole mon souffle, une tension fait battre une queue dure et chaude contre mon ventre. Peloter ouvertement son délicieux fessier à la fermeté idéale me fait soupirer de concert à chaque ...
... mouvement de bassin. Erik réagit au quart de tour, attrape mon genou et le maintient calé sur sa hanche. Ainsi ouverte, je reçois sans réserve son sexe érigé tel un pylône et me pâme presque lorsqu’il m’empale d’un coup vif. Debout, entre le bord du petit canapé brun et ce corps vrombissant, je lutte pour ne pas déborder de plaisir à chaque pénétration, pour profiter le plus possible de ce délice un peu brutal qui me fait chanter autre chose qu’une sérénade. Quelques va-et-vient profonds, à peine le temps d’accélérer un mouvement déjà soutenu… Je ne tiens guère. Mon orgasme est puissant, long, rythmé par les derniers mouvements désordonnés de mon étalon au bord de l’explosion. Je n’ai pas entamé le retour sur la terre ferme qu’il s’éloigne dans un râle rauque. Erik me laisse doucement choir contre un coussin avant de s’affaler à son tour dans une langueur exquise, une petite serviette à la main.
Qu’il est beau, ainsi détendu ! Son visage révèle plus de douceur et de délicatesse lorsqu’il abandonne son petit pli d’ironie amusée. Je me penche pour lui caresser tendrement la joue, sans réfléchir. Il me regarde, sourit.
Son sourire s’élargit lors d’un coup d’œil par-dessus mon épaule. Orutai adossé au chambranle de la porte coulissante semble ne rien avoir raté de nos ébats ; preuve en est : la bosse qui casse quelque peu la ligne gracieuse de son corps presque androgyne sous son yukata.
Toujours paré de ce sourire doux, un peu énigmatique, le regard pétillant, il m’invite ...