1. L'accident


    Datte: 22/01/2025, Catégories: fh, couleurs, extracon, inconnu, uniforme, sport, Collègues / Travail Oral pénétratio, hdanus, extraconj, Auteur: Madounette3, Source: Revebebe

    ... piège se refermait sur moi. Était-ce vraiment un piège ? N’était-ce pas ce que j’étais venue chercher ici : un prolongement de l’instant vécu dans le camion ?
    
    Tout en énumérant différents faits divers saugrenus, il se colla à moi, et recommença à parcourir mon corps de ses doigts. Je n’écoutais plus grand-chose. J’avais beaucoup de mal à rester concentrée. Mon esprit était focalisé sur ses mains. Il caressa d’abord l’ovale de mon visage. Du bout des doigts, il fit le tour de mes lèvres, sans oublier de passer sur mes lobes d’oreilles, zone que je ne classerais pas comme totalement érogène, mais qui participa bien à faire monter mon excitation.
    
    Il entreprit alors de me délester de mes vêtements. Ses mains descendirent tout le long de mon corps, évitant soigneusement les zones les plus sensibles lors de ce premier passage. Au fur et à mesure de ses allers-retours, il s’aventurait de plus en plus précisément. Progressivement, il m’ôta mes différents vêtements. Je me retrouvai alors uniquement avec mon soutien-gorge et ma culotte qui, ma foi, était bien humide. Je repris l’initiative et lui ôta son uniforme. C’était un vrai pompier. Vraiment musclé, pectoraux et abdominaux bien présents. Mes mains et mes lèvres prirent le temps de vérifier la présence de chacun de ces muscles et de leur rigidité une fois bandés.
    
    L’exploration de ce torse terminée, j’osai enchaîner avec le bas. La boucle de sa ceinture me résista quelques instants. Il fallait dire qu’à une main, c’était ...
    ... moins facile, l’autre ayant déjà commencé à caresser ses fesses.
    
    Il se retrouva en quelques instants totalement nu. Mes doigts commençaient à tâter ses bourses et ses fesses qui n’avaient rien à envier au haut de son corps. Il ne restait pas totalement passif et il en profita pour faire tomber mes derniers morceaux de tissus. Nous étions à égalité.
    
    Du bout de mon index, je pris un peu de mouille qui dégoulinait de mon sexe. Je glissai dans son sillon, commençai à masser son petit trou. Passé la première surprise, je ne connaissais pas un homme qui n’aimait pas cette pratique et qui ne me la réclamait pas ensuite. Une fois relâché, j’insérai mon doigt un peu plus loin. L’effet fut immédiat : son érection naissante gagna en puissance et se rigidifia totalement. Son sexe était long, plus long que celui de mon homme(je ne pouvais m’empêcher de comparer), mais bien plus fin. Après quelques minutes de ce traitement, je voulais qu’il s’occupe de moi. Je posai mes fesses sur le rebord du bureau et guidai son pénis jusqu’à l’entrée de mon vagin. Il était enfin en moi. Il commença ses allers-retours, immédiatement sur un rythme intense. Il ne me fallut pas très longtemps pour avoir mon premier orgasme. Chaque centimètre de sa bite allait et venait sans discontinuer, le miracle d’un corps musclé. J’enchaînai les jouissances à en perdre le contrôle. Mon corps tremblait.
    
    Je ne sais pas s’il était au bord de l’éjaculation ou s’il sentait que mon corps avait besoin d’un peu de répit ...