1. L'accident


    Datte: 22/01/2025, Catégories: fh, couleurs, extracon, inconnu, uniforme, sport, Collègues / Travail Oral pénétratio, hdanus, extraconj, Auteur: Madounette3, Source: Revebebe

    ... l’aisselle. Je ne pus m’empêcher de réagir tant cette zone est sensible chez moi. Il continua, arriva dans mon cou pour caresser ma joue. J’étais un peu perdue, un mélange trouble entre le désir physique de profiter du moment et l’envie de rester fidèle à mon mari que j’aimais toujours. Il continuait ses effleurements et une phrase de mon mari me revint en tête.« Je comprendrais que tu aies d’autres envies physiques, tant que cela reste charnel et qu’il n’y a pas de sentiments, je pourrais assez l’accepter ».
    
    Ce souvenir lâcha mes derniers freins et je commençai à explorer le corps du caporal. Encouragé par ma réaction, il osa poser ses lèvres dans mon cou et joua à déposer des baisers sur les différentes parties de mon visage en évitant soigneusement ma bouche, puis, d’un coup, il prit possession de ma bouche, rapidement nos langues s’entrelacèrent. Un échange fougueux qui me rappelait les baisers avec mon mari voici plusieurs années. Ses mains poursuivirent la découverte de mon corps. Pendant qu’une caressait ma poitrine contenue dans mon soutien-gorge, l’autre descendait tester l’élasticité de la culotte qui formait l’ensemble. Mon mari me faisait remarquer à chaque fois que c’était dépareillé. Je m’efforçai donc au maximum de coordonner le haut et le bas. Ses doigts continuaient leurs explorations. Les cinq premiers tournaient autour d’un de mes tétons puis rejoignaient l’autre sein. Les cinq autres s’aventuraient sur mon pubis que mes séances d’épilation définitive ...
    ... avaient rendu tout lisse. Encouragé par mon bassin qui se frottait contre cette main, il vint coller la paume de sa main contre mon clitoris et positionna un doigt à l’entrée de mon sexe.
    
    L’arrêt un peu brusque du camion nous interrompit. Nous étions arrivés à la caserne.
    
    Avec cette arrivée à la caserne, j’étais partagée entre le soulagement de ne pas être allée plus loin, d’être restée fidèle à mon mari, et la frustration de ne plus avoir les doigts du caporal sur mon corps.
    
    Nous sortîmes du camion en nous redonnant de la contenance, l’air innocent.
    
    — Une visite de la caserne, vous plairait-elle ?
    
    Souhaitait-il réellement me faire visiter son lieu de travail ou en profiter pour poursuivre ses explorations ? Peu importait la réponse qu’il m’aurait faite, j’étais tentée par les deux propositions. J’acceptai son invitation et nous commençâmes le tour du propriétaire.
    
    La découverte des différentes salles n’était pas inintéressante, mais j’étais distraite par le frôlement de nos corps. À chaque passage de porte, il se positionnait à l’ouverture de celle-ci, faisait mine de me céder galamment le passage et attendait que je passe. Techniquement, il m’était impossible de franchir le seuil sans que nos corps se touchent. Mon esprit essayait de rester concentré sur les explications techniques. Ma chair réclamait des contacts de plus en plus prolongés. Arrivé à son bureau, il continuait à raconter une anecdote d’intervention. Il ferma la porte et tourna le verrou. Le ...