1. 0314 Des surprises, et quelques imprévus (partie 2)


    Datte: 21/01/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... déjà senti ce parfum…— Euhhhh… oui, je crois… je ne sais plus, c’est pas important.
    
    — D’ailleurs, tu ne le portes pas.
    
    — Pas ce soir, non. Je change suivant les jours.
    
    — En tout cas, Ulysse est super sympa.
    
    — Ouais, c’est ça oui ! J’ai vu comme tu l’as bouffé du regard, toute la soirée !
    
    — Et toi, non ! Vous n’arrêtiez pas de vous tripoter en plus !
    
    — T’es jaloux ?
    
    — Non, je sais que vous êtes potes. Et surtout qu’il est hétéro, Dieu merci ! Sinon, c’est clair que j’aurais du souci à me faire ! je plaisante.
    
    — Mais ta gueule !
    
    — Quoi, c’est pas vrai ?
    
    — Viens me sucer ! » il me balance après avoir fini son verre de vodka, tout en défaisant sa ceinture et en ouvrant sa braguette, l’alcoolémie avancée lui dictant ses exigences de mâle.
    
    Déjà, sa queue tendue déforme généreusement le coton élastique de son boxer.
    
    Un instant plus tard, je suis à genoux devant mon beau mâle brun, le visage contre son boxer, en train de me shooter des petites odeurs de sa mâlitude, de titiller son gland à travers le coton fin, de provoquer dangereusement la belle bête encore cachée. Mais mon mâle brun n’est pas en veine de préliminaires. Il a envie de se faire pomper sans plus attendre. Très vite, il baisse son boxer, il me fourre son manche tendu dans la bouche et il commence à la baiser avec une bonne intensité, ses mains posées sur ma nuque.
    
    Je me commence à me dire que son orgasme va vite arriver. Mais le bobrun me surprend une nouvelle fois. Après avoir ...
    ... éteint la lumière, il me fait m’allonger sur le dos et il défait ma braguette. Il se saisit de ma queue et me pompe avec une fougue animale. J’envoie mes doigts caresser ses tétons, mais il m’en empêche. Il veut juste me pomper. L’intensité de ses va-et-vient me fait filer tout droit vers mon orgasme. Mais alors que je m’attendais à jouir dans sa bouche, il arrête net ses va-et-vient.
    
    « Baise-moi ! » je l’entends me souffler avec une voix basse, chargée d’excitation.
    
    Ça fait pas mal de temps que je n’ai pas connu l’enivrante sensation de me sentir glisser entre les fesses de mon bobrun. Retrouver cette sensation est tout simplement une expérience incroyable. J’ai envie de prendre mon temps, de savourer chaque frisson, de doubler le plaisir de tendresse. Mais ce soir Jérém a beaucoup bu, et il n’est pas en mode câlin, il est plutôt en mode baise animale.
    
    « Vas-y, mec… » il me souffle, en amplifiant mes va-et-vient avec les mouvements de son bassin.
    
    Je le seconde en augmentant la cadence, l’ampleur et la puissance de mes coups de reins.
    
    « Ah oui, comme ça, c’est bon, mec !
    
    — Oh oui, Jérém, c’est bon !
    
    Il est vraiment chaud, et c’est très excitant. Dans le noir, je cherche à voir son corps avec mes mains, je cherche ses biceps, ses épaules, ses pecs, ses tétons. J’écoute ses ahanements, je m’enivre de son parfum et de son excitation. L’esprit vrillé par la montée du plaisir, je n’ai pas de mal à seconder son délire. J’y vais de plus en plus sauvagement car il ...