0314 Des surprises, et quelques imprévus (partie 2)
Datte: 21/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... douceur infinie. Une douceur virile. Je passe mes bras autour de son torse, je caresse fébrilement ses cheveux, ses biceps, ses tatouages. Je savoure chaque instant, chaque coup de rein, chaque câlin. Car ses coups de reins ce sont aussi des câlins. J’aime bien quand ils ont une puissance animale. Mais là, c’est sans commune mesure. Nous sommes fous l’un de l’autre. Et sa mâlitude n’a jamais été aussi brûlante qu’à cet instant précis.
Quand le sexe devient un moyen de montrer à l’autre l’intensité de notre amour, avant même d’être un moyen de prendre du plaisir, c’est là qu’il recouvre son plus noble rôle. Et je crois que c’est la plus belle et intense expérience sensuelle qu’on puisse vivre avec l’être aimé.
Chaque instant, chaque va-et-vient est une note plus incroyable que la précédente dans un crescendo vertigineux. Je suis hypnotisé par son regard, par ses ahanements, par les frémissements qui parcourent son corps. J’ai envie que cela dure longtemps, longtemps. Et pourtant, je ne peux m’empêcher de guetter sur son visage les signes annonciateurs de son orgasme. Car je veux lui offrir un bel orgasme. Car un garçon qui vous fait l’amour de cette façon mérite le plus bel orgasme qu’on puisse lui offrir.
Lorsque ses lèvres quittent les miennes, lorsqu’il se relève et que la puissance de son torse se montre dans toute sa splendeur, lorsque ses mains saisissent fermement mes hanches et que ses coups de reins prennent de l’intensité, je sais qu’il s’apprête à jouir. ...
... J’envoie mes doigts agacer ses tétons. Ce simple contact a le pouvoir de lui offrir le frisson ultime qui appelle sa jouissance.
Ses paupières tombent lourdement, sa tête part lentement vers l’arrière. Ses pecs se bombent, ses abdos se tendent, ses épaules s’ouvrent. Et un profond soupir s’échappe de ses poumons, la double expression libératoire de sa jouissance.
Je sens son gland se caler bien au fond de moi, ses couilles se poser lourdement sur les miennes. Et je sais que mon bobrun est en train de lâcher de nouvelles bonnes giclées de jus chaud en moi.
Puis, il s’allonge sur moi, le visage dans le creux de mon épaule, le front moite, la respiration rapide et bruyante. Il amorce de petits coups de reins. Et le simple frottement de ses abdos sur mon gland suffit à embraser mes sens. Je jouis à mon tour. Je jouis avec une intensité que j’ai rarement ressentie. Peut-être même jamais atteinte. J’ai fait le bon choix en quittant Ruben. Car je n’ai jamais ressenti cela avec lui, jamais.
Pendant de longs instants, Jérém demeure allongé sur moi, enfoncé en moi. Il récupère de l’effort de l’amour. Je ne me lasse pas de sentir son corps sur le mien, de humer chaque note de cette nouvelle fragrance qui se dégage de sa peau chaude. Et je me délecte de la sentir se mélanger avec les petites odeurs dégagées par son corps après l’amour.
Après s’être retiré de moi, à ma grande surprise, il ne cherche même pas à se lever pour aller fumer sa cigarette. J’aime bien quand il reste ...