« Josy » : La petite salope, à la mairie du village. Épisode 19
Datte: 19/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... maitresses.
Christian Guéret était un homme charmant de 49 ans assez fort, possédant une entreprise de transport, située à 500 mètres du restaurant. C’était mon premier voisin en repartant vers le centre-ville. Étant au courant que de nombreux(euses) habitants (35 à 60 ans) de la commune étaient de fidèles clients de la guinguette et que de nombreux jeunes étaient comme eux, entièrement pour l’ouverture d’une discothèque dans leur village, cet homme était assez intelligent pour comprendre qu’il était plus judicieux de changer son fusil d’épaule.
Contrairement à son père, il préférait négocier car il craignait avec une fermeture à quatre heures du matin, trop de nuisances occasionnées par les bagarres, par le bruit et par la circulation : « Je vous rassure, je ne suis pas contre un night-club, à Facourt/Drèze. » « Dans ce cas, pourquoi ne pas signer ? Ce nom veut bien dire : club de nuit. » Pendant cette discussion, il me promit d’y réfléchir et me proposa : il redemandait au conseil qui avait lieu deux jours plus tard, de m’accorder le droit d’ouvrir, au même titre que les bals, soit 2 heures du matin, après une période d’essai de trois mois, avant, de m’accorder 4 heures du matin si tout se passait pour le mieux.
Puis il me proposa de m’inscrire sur sa propre liste électorale. Avant de nous séparer, pour en parler au calme, il m’invita dans un restaurant bien noté de la ville : « j’en serais ravie, rappelez-moi plus tard, je suis débordée en ce moment. » Je n’avais ...
... pas dit non car cet homme pouvait me servir et s’il voulait coucher avec moi, comme je le supposais, je n’hésiterais pas à me servir de lui. Il était un peu âgé pour moi mais charmant après tout, autant joindre l’utile à l’agréable, je l’avais déjà testé et cela fonctionnait.
Christian avait tellement insisté pendant trois jours de suite, que j’avais accepté de venir déjeuner avec lui. Pendant tout le repas, il n’avait pas cessé d’essayer de me séduire. Ses propos, ses attouchements du pied ou de la main et ses petites allusions cochonnes, m’avaient mise en émoi. Au moment de quitter le restaurant, lorsqu’il m’aida galamment à enfiler mon manteau, il se colla à mon dos et me murmura à l’oreille : « Tu viens ! Je peux prendre une chambre. »
Christian était un charmeur, j’étais prête à le suivre, j’avais eu à cet instant une grosse pulsion sexuelle et ça faisait plusieurs jours que je n’avais pas joui dans les bras d’un homme. Cependant je n’avais encore rien obtenu de sa part. Je refusai gentiment sa proposition et afin de ne pas me le mettre à dos, je lui fis la bise, en disant : « Tu as passé ton temps à me draguer, même si ce fut très agréable, je te l’accorde, j’aurais préféré que tu me dises ce qu’il en est, de tes propositions : — Pour la dérogation, il faudra attendre les élections et pour ta présence sur la liste, la moitié est contre. Mais tu sais ça peut vite changer. Je te promets que j’obtiendrai ce que tu désires.
J’étais rentrée à la maison avec le fond ...