1. « Josy » : La petite salope, à la mairie du village. Épisode 19


    Datte: 19/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... temps exécrable. Je revenais de la ville, il était 17 heures, lorsque que devant le café du centre du village, j’aperçus Claude de France Télécom, s’apprêtant à monter dans sa camionnette. Françoise baisant tous les jours avec Denis, ne désirant plus sortir seule au « Plazza », cela faisait trois semaines que je n’avais pas eu l’occasion, ni le temps, de prendre un amant. En regardant ce beau brun, sur le trottoir, j’eus une puissante pulsion sexuelle, malgré qu’il m’ait quelque peu déçu la fois dernière.
    
    Je m’étais arrêtée à sa hauteur et avais baissé ma vitre et lui dit : « Salut Claude ! Tu as le temps de prendre un verre à la maison ? » Après avoir accepté mon invitation, il m’avoua que cela tombait bien pour lui, il voulait justement avoir une explication avec moi. Arrivée au restaurant, afin de rester discrète, je dis à Gigi que j’avais un problème de téléphone dans mon bureau. Une fois dans mon appartement, devant un verre, Claude avait envie de s’excuser : « Je sais Josiane, j’ai été nul ce jour-là. Mais j’aimerais me rattraper. »
    
    Il savait que n’ayant pas joui cette fois-là, j’étais déçue et ne voulais plus baiser avec lui. Il me donna les raisons de sa précipitation, c’était un manque de temps car son chef lui mettait beaucoup trop la pression et le surchargeait de travail : « Franchement, en plus tu m’as presque violé, ce jour-là, j’étais excité à mort. » Il est vrai que je fus une réelle salope avec lui, je le reconnaissais volontiers : « Aujourd’hui, tu as ...
    ... le temps ? N’est-ce pas ? Alors si tu veux te rattraper, c’est le moment. » Le provoquais-je une nouvelle fois en venant m’assoir sur ses genoux à califourchon.
    
    Nous nous étions embrassés, léchés, caressés, pelotés avant de nous retrouver à poil, tête bêche sur le canapé où après un cunnilingus endiablé, il me fit prendre un orgasme terrible, pendant que je lui suçais son bel engin. Claude m’avait prise par devant, et m’avait, une nouvelle fois, fait jouir en éjaculant, tout de même un peu trop tôt. Nous avions fini notre verre et ce fut avant de me quitter qu’il me parla des problèmes de la mairie en me disant que son frère Patrice, pourtant 1er adjoint du maire, présenterait sa propre liste d’opposition : « Justement, il aimerait en parler avec toi. »
    
    Décidément, dans la commune, je devenais le principal sujet de conversation, notamment la discothèque qui devait voir le jour en début d’année 77. Toutefois avec ma notoriété grandissante, j’étais la personnalité à convaincre. J’avais déjà rendez-vous le lendemain, avec le Mr le maire, un opposant farouche à mon projet, je le recevais avec son fils que j’avais déjà rencontré à plusieurs reprises. Je fus heureuse d’apprendre ce soir-là que Mr Guéret, vu son âge, ne se représentait pas et que son fils reprenait la suite. C’était mieux sans doute mais ce n’était pas gagné d’avance, car Liliane, l’épouse d’Alain, était une très grande amie à lui, certaines mauvaises langues disaient qu’elle était même une de ses nombreuses ...
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