Ma première pose (deuxième session)
Datte: 17/01/2025,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Caroline de Savoie, Source: Hds
... le long de mes bras et la lui tendis. Il ne prit pas la peine comme l’autre fois d’aller la poser lui-même mais la roula en boule et la jeta à un autre plus au fond qui lui-même la fis suivre et je la perdis de vue, tandis qu’il me jetait « on te la rendra plus tard…. Ou pas » déclenchant un rire général dans la salle.
Il me regarda à nouveau de bas en haut, approuvant l’absence de marque de sous-vêtements ainsi que la hauteur de mes talons que j’avais conservé. S’adressant à la salle, il lança : « vous voyez que vous avez bien fait de venir », puis à moi, « allez reprend la pose là où tu l’avais laissée… mets-toi a 4 pattes ». Le rouge au front je m’exécutai en m’efforçant de lancer a la salle un regard circulaire pour regarder en douce l’assistance. Plus nombreux que l’autres fois en effet, je ne dénombrais pas moins de 38 personnes, qui toutes me regardaient intensément. Certains que je reconnue de la première fois, et des nouveaux parmi lesquels je reconnus pas mal de personnes des environs, des voisins, sans doute attirés par les affichettes annonçant ma « prestation », mon ancien camarade de lycée, mon ancien prof qui m’adressa un petit signe et à côté duquel je reconnu aussi un autre enseignant, que j’avais eue (il avait dû passer le mot !) et avec lequel je ne m’étais jamais bien entendue et j’aperçue même désespérée mais impuissante un collègue du restaurant qui habitait lui aussi le bourg.
Tandis que je commençais à réaliser que tous ces gens attirés par ...
... l’annonce ou le bouche-à-oreille devaient eux même en parler autour d’eux et que tout le bourg risquait bientôt d’être au courant, David me forçait avec moins de ménagement que l’autre fois à prendre une pose correcte. Sa main appuya au creux de mes reins, tandis qu’il forçait de son autre main mes genoux à s’écarter un peu plus. Il écarta mes mains au sol également, soupesant un de mes seins en indiquant « il faut qu’on les voie bien », releva mon menton en me disant « regarde bien en face » et fini par se relever en me collant une claque sonore sur les fesses et en concluant « voilà tu es parfaite ainsi, ne bouge plus ».
Je restais la, à 4 pattes, cambrée, genoux et bras trop ouverts, aussi immobile que je le pouvais, tandis que l’assistance me dévorait des yeux et me dessinait (pour les nouveaux inscrits, je ne suis pas sure en fait que tous dessinaient vraiment). Par moment un ou deux hommes se levaient et venaient me voir de plus près, faisant même le tour de moi, encouragés par David qui en rajoutait « allez-y, elle est là pour ça, n’hésitez pas, il faut bien capter le détail pour pouvoir dessiner »
Je refis cette pose une autre fois, tournée de l’autre côté, afin, comme il le disait, que chacun puisse me voir sous tous les angles et s’entraine à me dessiner. Pendant la totalité des poses j’entendais les murmures dans la salle sans en comprendre clairement la plus grande part mais en captant parfois quelques mots, à propos de mon anatomie bien sûr et de qui j’étais : « ...