1. Duel de voisines


    Datte: 15/01/2025, Catégories: fh, fplusag, fagée, voisins, gros(ses), Oral pénétratio, diffage, Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... se contacter. Angoissante question : les vieilles pouvaient-elles jouir ? Celle-ci sans aucun doute, les spasmes de son corps, les petits« ah », les soufflements, je redoublai d’attention sur un bouton de taille fort honorable qui me sembla gonfler peu à peu au fil de mes coups de langue. Allais-je y arriver ? Depuis combien de temps est-ce que je la léchais ? Je n’avais plus la notion du temps… Ma bouche aidée de mes doigts qui allaient et venaient dans sa grotte humide. Elle était presque en haut de la vague mais ne parvenait pas à atteindre la félicité. Me vint alors à l’idée de mouiller un autre de mes doigts et de le glisser dans son anus. La réaction ne se fit pas attendre, elle s’arcbouta sur ses pieds en gémissant comme une bête, ce qui m’encouragea encore plus à la bouffer, à la branler, à l’enculer, le tout en même temps jusqu’à ce qu’elle craque et se tortille de tous côtés. Putain, quel pied, la mamie ! Mais je continuai quand même à la manger et à lui doigter les fesses jusqu’à ce qu’enfin elle se calme.
    
    — Oh mon dieu, convint-elle ! Qu’est-ce que c’est bon ! Qu’est-ce que vous faites ça bien !
    
    Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Je dégrafai mon pantalon et baissai mon slip, libérant une queue dure et dressée, et lui présentai devant la bouche.
    
    — Mon Dieu, qu’est-ce que vous me faites faire, protesta-t-elle juste pour la convenance, ce qui ne l’empêcha pas d’engloutir ma bite qu’elle se mit à pomper avec dextérité.
    
    Elle n’était ...
    ... pas dénuée de savoir-faire, bien au contraire. Elle me suçait avec appétit en massant doucement mes couilles. Elle se risqua même à m’enfoncer un doigt dans le cul.
    
    — Ah putain, t’aime ça la bite, ne pus-je m’empêcher de dire, ce qui eut pour effet immédiat de la faire grogner. Ah putain comme c’est bon, continue, tu vas me faire venir.
    
    Redoublant alors d’énergie en me malaxant les couilles, elle ne tarda pas à me faire gicler dans sa bouche. Elle faillit s’étouffer, déglutit avec peine, relâcha ma queue, du sperme s’écoula dans son cou. Puis, une fois remise de ses émotions, et sans que je lui demande, elle me reprit en bouche et me nettoya soigneusement de toute ma jouissance. Manifestement, elle aimait aussi le jus de bite.
    
    — Nous pourrions finir le Porto avant d’aller dans ma chambre, proposa-t-elle les lèvres encore luisantes de foutre.
    
    Manifestement, elle avait envie d’un second round qui fut lui aussi torride à l’image de nos premiers ébats, elle m’autorisa même à lui prendre le petit.
    
    Et ce n’est que fort tard dans la nuit que je pus enfin rentrer chez moi.
    
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    Le lendemain, lorsque je me levai, un mot avait été glissé sous la porte :
    
    J’ai relu cette missive plusieurs fois au cours de la journée, je me suis même masturbé dans les toilettes du boulot en me disant« Putain, quelle salope, elle en veut ! »
    
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    Le soir venu, après avoir pris une bonne douche, j’ai enfilé un jogging décontracté sans mettre de ...
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