Vendanges
Datte: 14/01/2025,
Catégories:
fhh,
jeunes,
frousses,
campagne,
fête,
cérébral,
caresses,
facial,
Oral
init,
candaul,
Auteur: lexdepenny, Source: Revebebe
... ça, Mary ? C’est bon pour toi aussi ?
— C’est très bon, et oui, j’ai énormément de plaisir à te sucer, Jakob.
Elle me regarde.
— Tu m’observes bien, Jack ? Ce que je fais ? Qu’est-ce que ça te fait comme effet de voir ton épouse qui suce un autre homme ? Sois honnête, s’il te plaît.
— C’est à la fois troublant et excitant. Troublant parce que ça ne se fait pas, excitant parce que j’en ai fantasmé, comme tu sais, et que la réalité est cent fois plus forte que ce que j’avais imaginé !
— Et si je fais ça ? Mary roule sa langue autour de la tête du pénis de Jakob.
— Là, tu fais méchante fille mal élevée ! Si tu continues, je vais jouir rien qu’à te voir ! Jakob aussi, je crois !
En effet, notre ami, en proie aux coups de langue de Mary, a les yeux résolument fermés, comme s’il s’efforce de ne pas jouir.
— Il est temps, alors.
Sans lâcher sa prise sur la bite de Jakob, elle engloutit la mienne de toute sa longueur. Les bouts de nerf si sensibles du gland ne résistent plus et je jouis dans sa bouche et sur ses lèvres. Elle avale, puis me donne un sourire qui déclare sa satisfaction.
Et c’est au tour de Jakob. Il résiste quelques secondes de plus que moi, et lâche un grognement du fond de sa gorge en éjaculant un flot impressionnant. Mary ...
... est prise au dépourvu, et reçoit le premier jet dans sa bouche. Pour éviter d’être noyée, elle ferme ses lèvres et n’a pas d’autre recours que d’avaler, pendant que le reste lui éclabousse la figure et dégouline de son menton.
— Oh. Excuse-moi, s’exclame Jakob. J’ai sali ta robe.
Mary et moi sommes pris par un fou rire.
— C’est totalement sans importance ! je le rassure. Ça se lave.
Mary a besoin de plusieurs mouchoirs en papier pour se débarbouiller la figure. Je sens qu’elle est en train de descendre du pic d’excitation de cette expérience inattendue. Malgré les traces de sperme, le mien comme celui de Jakob, qui ont aspergé ma femme, je l’embrasse à pleine bouche pour la rassurer.
— Il va falloir en parler, dit-elle quand je la lâche.
— Je sais. Demain, d’accord ?
— Il faut que je me lave. Vous m’avez crevée, vous deux. Bonne nuit, Jakob.
— Bonne nuit Mary. Tu as vraiment aimé ?
— J’ai adoré.
Elle fait une bise chaste de remerciement à Jakob, m’embrasse avec tendresse, et entre en titubant un peu dans le dortoir des filles. À la porte, elle se retourne et me fixe du regard. C’est elle qui trouve les paroles de ma pensée.
— Notre mariage va être différent de celui des autres, je pense. Pas toi ?
— Oh, si !
Elle avait raison.