1. Vendanges


    Datte: 14/01/2025, Catégories: fhh, jeunes, frousses, campagne, fête, cérébral, caresses, facial, Oral init, candaul, Auteur: lexdepenny, Source: Revebebe

    ... seraient envisageables.
    
    Jakob est fasciné par la peau laiteuse de ma femme, et peu après son arrivée, il me demande si sa peau est aussi douce qu’il l’imagine. J’ai remarqué qu’il évite les contacts physiques en général, et avec Mary en particulier. Sans y réfléchir, je le rassure sur le fait qu’elle a la peau toute douce, et de partout, alors il rougit. Je sais que certaines des filles le taquinent. Elles se trouvent… par hasard, évidemment… à poil quand il passe nettoyer les douches. Pourtant, il annonce son arrivée bien avant d’y entrer. Il est comme un petit garçon à qui on dit ou on fait voir des choses qu’il sent qu’il devrait comprendre, mais qu’il ne comprend pas vraiment. Il adore Mary, mais un peu comme un chien adore sa maîtresse.
    
    Arrivent donc le dernier soir et le repas du départ. De longues tables sont dressées dans la cour de la ferme et au crépuscule tout le monde se réunit, à la lumière faible de lampes de pétrole. Mary met une robe en coton fin vert, longueur de genou. Le haut est soutenu par de fines bretelles. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Quand on sort dans la cour, je vois Jakob qui nous a gardé des places sur un des longs bancs en bois. Mary se met entre lui et moi. Je suis tout au bout. On mange et on boit.
    
    Au bout d’un moment, à force d’avoir passé des journées entières avec Jakob, je sens que quelque chose le démange.
    
    — Il y a un problème, Jakob ?
    — Euh… euh… non. Pas vraiment.
    — Allons, mon grand, nous sommes des amis, Mary, ...
    ... toi et moi. Dis-moi tout.
    
    Alors il s’explique, avec des pauses, des hésitations et des bribes de phrase dont j’extrais l’essentiel.
    
    Il a eu la maladresse de laisser savoir à Norman, un Australien braillard aux habitudes louches, que je lui avais dit que Mary avait la peau très douce. Selon Norman, Jakob se devait de s’emparer de ma femme pour vérifier. Je jette un coup d’œil vers le trio australien et il est évident qu’ils s’attendent à ce que Jakob, sans crier gare, pose ses mains sur Mary, et que je réagisse violemment. Norman sème la discorde depuis son arrivée et il ne sera plus embauché l’année suivante.
    
    J’explique la situation à Mary, dont le français limité n’a pas permis de suivre les balbutiements de Jakob.
    
    — Ça ferait trop plaisir à Norman si tu laissais Jakob te toucher le bras. Il verrait et il croirait avoir gagné. Tu es chiche qu’il te caresse un peu le genou ? Comme ça, Jakob aura ce dont il a envie et les autres n’en sauront rien.
    
    Mary me regarde. Même si elle s’est beaucoup libérée depuis son pensionnat en Irlande, laisser qu’un autre que son mari lui touche la jambe l’enquiquine. Elle avale et fait quand même oui de la tête. J’explique à Jakob comment on va faire. Il ne doit absolument pas laisser deviner qu’il se passe quelque chose hors norme. Il a la figure de nature peu expressive, donc à condition qu’il regarde ailleurs, personne ne saura rien. Il dit qu’il comprend. Sa main glisse sous la table. Je pose ma main sur le genou de Mary pour ...
«1234...7»