Vendanges
Datte: 14/01/2025,
Catégories:
fhh,
jeunes,
frousses,
campagne,
fête,
cérébral,
caresses,
facial,
Oral
init,
candaul,
Auteur: lexdepenny, Source: Revebebe
... menton appuyé sur les mains. Soudain, sans que son expression ne change, elle descend une main et retrousse sa robe jusqu’à l’aine. Maintenant, la nappe ne cache plus rien de nos manœuvres. Je peux voir son slip en coton blanc et aussi mes doigts, qui sont à même pas cinq centimètres de son entrejambe. Ce qui me fait bander encore plus fort, cependant, c’est que je vois aussi la main de Jakob, même si celle-ci est simplement posée sur la cuisse, alors que la mienne est entre les jambes de mon épouse. Jamais, sauf dans mes fantasmes les plus fous de cette époque-là, je n’aurais imaginé Mary acquiescer à… et accueillir… une situation pareille ! J’ai commencé dès notre mariage à lui dévoiler certains de mes envies et projets pour nous, mais nous n’en sommes qu’aux débuts. Je ne résiste pas à la tentation de profiter du moment. Je prends la main de Jakob et je la pose en copie conforme de la mienne sur l’autre cuisse. J’entends la brusque aspiration nerveuse de Mary qui témoigne de la tension qu’elle doit ressentir.
Jakob et moi, nous voyons bien maintenant ce que nous sommes en train de faire à mon épouse complaisante. Les cuisses de Mary forment un angle de trente degrés au moins. Mes doigts, comme ceux de Jakob, ne sont plus qu’à des millimètres du coton tendu.
Soudain, Mary se met toute droite, fait descendre sa robe et resserre les cuisses. J’ai à peine le temps de retirer ma main. Puis je vois que Norman et ses potes, tous bien beurrés, se sont levés et vont passer ...
... derrière nous. Ils nous lancent quelques vannes au passage, que nous ignorons. Aussitôt qu’ils ont disparu, Mary souffle un grand coup, me pousse pour que je la laisse sortir, se lève et se dirige prestement vers le dortoir des filles.
— J’ai fait quelque chose de mal ? me demande Jakob, très inquiet.
— Pas du tout. Tu aimais ce que tu faisais pour Mary ?
— Oh oui ! Elle a la peau vraiment très douce, comme tu avais dit. Surtout là où tu m’as placé la main.
— Tu as raison. Et elle aussi, je sais qu’elle aime ce que nous lui faisons.
— C’est vrai ? Tu ne me mentirais pas ?
— Absolument pas. Demande-lui. Elle revient.
Mary a l’air de s’être de nouveau calmée. Je me lève, mais avant qu’elle ne reprenne sa place entre Jakob et moi, elle attrape son verre de vin et le vide d’un trait.
— Maintenant, je suis prête, dit-elle.
La nuit est tombée et les autres sont partis. Il y a un bal dans le village. Nous sommes quasiment seuls. Mary regarde autour de nous. Personne ne nous observe. Soudain, elle prend l’ourlet de sa robe à deux mains et la retrousse. Elle en fait un nœud autour de sa taille. Elle s’assoit. Ses fesses nues sont directement sur le banc et à la lueur des lampes, sa toison, fine et tout aussi rousse que ses cheveux, est sous nos yeux. Si moi je suis étonné qu’elle ait osé enlever sa culotte, Jakob est aux anges.
— Comme c’est beau, dit-il. Quelle belle couleur ! C’est beaucoup plus joli que les autres filles !
— Et c’est doux au toucher, dit mon ...