0311 Des retrouvailles peuvent en cacher d’autres.
Datte: 10/01/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... prendre en bouche ?
— Je sais… c’est ça qui est excitant !
— Je bande comme un âne !
— Hummmmm ! » fait le bogoss, en tâtant brièvement ma braguette rebondie et brûlante.
Jérém accélère ses va-et-vient sur sa queue et frémit de plaisir. Fou d’envie, j’allonge ma main droite vers son entrejambe. Immédiatement, sa main lâche l’affaire et laisse la mienne s’en saisir, et apporter quelques caresses rapides. Le bobrun frissonne.
« Tu t’es trompé de levier… celui des vitesses est plus proche de toi ! il me cherche.
— T’es vraiment qu’un petit con ! Mais putain, qu’est-ce que j’ai envie de toi !
— Hummmmmm » il commente, de plus en plus excité.
J’ai du mal à quitter sa main du regard, cette main qui est en train d’amener sa queue vers la jouissance, me privant ainsi d’un bonheur certain.
« Attention à la route ! me lance sèchement Jérém, alors que je manque de peu une bite de signalisation.
— T’as envie d’avaler ? il enchaîne, le regard et l’intonation de ses mots de plus en plus lubriques.
— Mais évidemment que j’ai envie d’avaler ton jus. Ça fait tellement longtemps que je n’y ai pas gouté !
— Ça te manque, hein ?
— Oh putain, que oui !!! J’ai envie que tu m’étouffes avec ta queue et que tu gicles direct dans ma gorge ! »Et là, après un dernier puissant frisson accompagné d’un ahanement prolongé, j’entends mon bobrun grogner son orgasme. Je le vois lâcher un certain nombre de bonnes giclées qui atterrissent sur son t-shirt blanc. Ah, ...
... putain, qu’est-ce que c’est beau ! Et en même temps, quel immense gâchis !
Jérém vient de jouir et il tire aussitôt le pull sur sa queue. Il gît nonchalamment abandonné, enfoncé dans le siège passager, les yeux fermés. Je regarde le coton blanc bombé par les pecs saillants, parsemé des traces brillantes de sa jouissance, je le regarde onduler au rythme de sa respiration rapide après l’effort. Je regarde sa pomme d’Adam s’agiter nerveusement, son petit grain de beauté frémir dans le creux de son cou, juste au-dessus du col du t-shirt. Les yeux fermés, mon bobrun profite de la plénitude des premiers instants après l’explosion du plaisir, un état de grâce absolu dans lequel le corps et l’esprit connaissent un bonheur intense.
« Alors, t’as bien joui ? je le questionne quelques instants plus tard, lorsqu’il rouvre les yeux.
— Ah, c’était terrible ! En fait, une bonne branlette c’est aussi bon qu’une baise !
— Et moi je me la mets sur l’oreille… »Le bobrun sourit, et son sourire est si beau et coquin qu’il me donne envie de l’embrasser et le gifler tout en même temps.
Et lorsque je le vois en train de vouloir essuyer ses doigts pleins de jus dans le t-shirt blanc, je ne peux m’empêcher de lui balancer :« Attends ! »Non, je ne peux pas lui laisser faire ça.
« Quoi ?
— Attends… » je lui répète, plus calmement, alors que je viens de repérer l’embranchement d’un chemin qui me paraît prometteur.
C’est lorsque je mets le clignotant que Jérém comprend enfin mes ...